Herri Iañ (Frankia ar Reter) : diforc'h etre ar stummoù

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== E vuhez ==
[[File:Heinrich-der-finkler-darbringung-der-kaiserkrone.jpg|thumb|300px|Herri Saks o klevout eo bet anvet da roue a-greiz ma edo oc'h evneta, [[kaoued]] ha [[roued]] gantañ.]]
=== Adaframmañ ar rouantelezh ===
 
Goude marv [[Loeiz IV ar Bugel ]] († 840), skarzhet diskennidi Karl Veur, e tegouezhas ar rouantelezh etre daouarn [[Konrad Iañ Germania]] en [[911]], ha gant Herri an Evnetaer en [[919]]. E [[rouantelezh Germania]] neuze e oa bodet un darn eus douaroù [[Francia orientalis]]'' Karl Veur, ha reuz enne. E Dugelezh Saks, da varv e dad en 912, e rankas Henri en em gannañ
 
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l’Oiseleur doit se battre contre ses voisins du sud de la [[Duché de Franconie|Franconie]]. Il est ainsi le principal opposant au roi [[Conrad Ier de Germanie|Conrad {{Ier}} de Franconie]], lequel trouve la mort le {{date|23|décembre|918}} . Néanmoins, Henri, qui s'est réconcilié avec Conrad peu avant la mort du roi de Germanie<ref name="p12">Paul Bertrand, Bruno Dumézil, Xavier Hélary, Sylvie Joye, Charles Mériaux et Isabelle Rosé, ''Pouvoirs, Eglise et société dans les royaumes de France, de Bourgogne et de Germanie aux Xe et XIe siècles (888-vers 1110)'', Ellipses, 2008, p. 12</ref>, est élu le [[6 mai]] [[919]] par une assemblée réunie à [[Fritzlar]], qui ressemblait aux trois états établis longtemps après en France, écrit Voltaire<ref> Œuvres complètes de Voltaire, ''Annales de l’Empire, Henri l’oiseleur''.</ref>. La tradition dit qu'on le nomme « l'Oiseleur » parce que les députés qui lui annoncent son élection le trouvent un faucon sur le poing. Étant à la chasse au gibier à plumes, il est courroucé de leur intrusion qui fait s'envoler tout le gibier qu'il convoitait. Mais comme les princes s'agenouillent pour lui apprendre la nouvelle, il estime que malgré tout la chasse n'avait pas été aussi mauvaise.
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- Successeur du roi [[Conrad Ier de Germanie|Conrad {{Ier}} de Franconie]], Henri {{Ier}} de Saxe fonde la dynastie des [[Ottoniens]] et reprend à son compte la politique des [[Carolingien]]s, bien qu'il ne soit pas issu directement de cette dynastie, mais de la [[maison de Saxe]]. Henri tranche avec ses prédécesseurs dans la mesure où il refuse d'être sacré roi par l'archevêque de [[Mayence]]. Il s'en déclare indigne, mais souhaite en réalité marquer ainsi son indépendance vis-à-vis des autorités religieuses<ref name="p12" />.
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- Henri {{Ier}} de Germanie est soucieux au contraire d'obtenir le soutien des autres ducs, quitte à faire des concessions : une courte guerre avec le duc de Bavière Arnulf se termine ainsi par la cession à ce dernier du pouvoir de nommer les évêques dans sa province. Cette politique conciliante ne l'empêche pas, par des alliances, de remplacer les vassaux rebelles par des membres de sa famille<ref name="p12" />. Il rétablit ainsi l’autorité royale en [[Souabe]].
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- [[Fichier:Quedlinburg Rathaus Heinrich.jpg|thumb|left|Vitrail représentant Henri I{{er}} de Germanie, à la mairie de [[Quedlinbourg]].]]
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- Il est reconnu roi de [[Lorraine]] en [[925]] : ce territoire en balance depuis longtemps entre Francie de l'ouest et Francie de l'est passe définitivement du côté de la Germanie. En 928, il fait [[Gislebert de Lotharingie|Gislebert]], un grand de la région, duc de Lorraine et lui donne sa fille<ref name="p12" />. Son deuxième fils [[Henri Ier de Bavière|Henri {{Ier}}]] devient le duc de Bavière.
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- Les vassaux, les arrière-vassaux, se soumettent à fournir des milices, et des grains pour les faire subsister. Il change les villes, les bourgs dépeuplés que les [[Huns]], les [[Bohême]]s, les [[Moraves]], les [[Vikings]], avaient dévastés. Il bâtit [[Brandebourg-sur-la-Havel]], [[Meissen]], [[Schleswig|Sleswick]], [[Gotha (Allemagne)|Gotha]], [[Herford]], [[Goslar]], [[Quedlinbourg]]. Il dote l'Allemagne de ses premières chartes municipales.
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- Il rétablit les abbayes d’[[Herford]] et de [[Corvey]] ruinées, mais, peu religieux, il écarte des fonctions publiques les ecclésiastiques.
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==E zimezioù hag e vugale==