Elesbed Aostria (1554-1592) : diforc'h etre ar stummoù

Diverradenn ebet eus ar c'hemm
E 1570, da 16 vloaz, e timezas d'ar roue gall Charlez IX en iliz [[Mézières]]. E 1571 e voe kurunennet e [[Sant-Denez]] ha degemeret war an ton bras goude e kêr Bariz. Goude-se ne voe ket anv anezhi nemeur. Meur a yezh a gomze, nemet galleg ne rae ket.
E 1572 he doe ur verc'h, [[Marie-Élisabeth de France|Marie-Élisabeth]] ([[1572]]-[[1578]]), hogen mab ebet. E-keit-se e talc'he he fried da zremprediñ e [[serc'h]] [[Marie Touchet]], hag ur mab en doe, [[Charles de Valois-Auvergne]], dug Angoulême, en 1573).
Ne chomas nemet tri bloaz el lez c'hall. Karet e oa dre ma oa dous, koant, ha fur. Meur a yezh a gomze (alamaneg, spagnoleg, italianeg, latin) hogen galleg ne rae ket.
Klañvidik e oa he gwaz, ha mervel a reas e 1574. Intañvez e oa Elesbed da 20 vloaz.
EDaou vloaz goude, e 1576, e tistroas Elesbed da Aostria, he bro c'henidik, hep he merc'h, a oa priñsez a Vro-C'hall, hag a varvas e 1578 da 6 vloaz.
 
 
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Élisabeth ne reste que trois ans à la Cour, mais elle y laisse de bons souvenirs, par sa douceur, sa beauté et sa bonté. Très réservée, elle parlait comme la plupart des membres de la [[Maison de Habsbourg]] l'allemand, l'espagnol, le latin et l'italien, mais pas le français. Ainsi ne pouvait-elle communiquer que grâce à une de ses dames qui servait de traductrice, la comtesse d'Arenberg. Ses vertus édifièrent : le célèbre [[Brantôme (écrivain)|Brantôme]] en fit l'éloge. Il qualifia Elisabeth d'''une des meilleures, des plus douces, des plus sages et des plus vertueuses Reines qui régnât depuis le règne de tous les Rois''.
[[Image : CharlesIX.jpg|thumb|Le roi Charles IX]]
Néanmoins, elle reste une des reines les moins connues de la [[Renaissance (période historique)|Renaissance]]. Se liant d'amitié avec sa belle-sœur, la reine de Navarre [[Marguerite de France (1553-1615)|Marguerite de France]], elle trouva en celle-ci une confidente. Elles correspondront même après le retour d'Elisabeth dans son pays natal ([[1576]]). Lorsque cette dernière apprit que Marguerite se trouvait sans revenus, elle lui céda généreusement la moitié de son douaire.
Elisabeth fonde un couvent de [[clarisses]] près duquel elle s'installea, à [[Vienne (Autriche)|Vienne]]. Elle s'y éteint en 1592, à l'âge de 37 ans, dans la plus grande dévotion.
 
=== DécèsGoude he marv ===
De cette mort, [[Brantôme (écrivainskrivagner)|Brantôme]] diraa skrivas : « ''lorsqu’elle mourut, [...] l’Impératrice [sa mère] [...] dit : ''El mejor de nosotros ha muerto.'' (Le meilleurAr gwellañ dac'entrehanomp nousa estzo mortmarvet) ». [[Pierre de L'Estoile]]'' remarquera qu'Elisabeth fut ''fort aimée et regrettée des Français.''
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