Augusta von Fersen : diforc'h etre ar stummoù

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==Dimeziñ==
En 1770 e timezas d'ar c'hont Fredrik Löwenhielm a veze er broioù estren alies evel kannad. D'ar mare-se e oa e lez [[Sachsen]], e [[Dresden]].
E 1771 e teuas Augusta da vout kentañ [[dimezell a enor]] ar rouanez yaouank [[Sofia Magdalena Danmark]] (1746-1813), pried ar roue [[Gustav III]]. Diwar neuze e oa un den a bouez bras el lez.
 
Brudet e oa kened Augustaan hag hediv c'hoar Augusta hag [[Ulrika von Fersen]], ha hini ar gontez [[Lovisa Meijerfeldt]], ma voe savet ur varzhoneg dezho gant [[Johan Henric Kellgren]] (1751-1795), titlet ''Gracernas döpelse'' ( An [[Teir Fulenn]]), ma lavar ar barzh e rank o c'hened, evel hini Teir Fulenn mojennoù Hellaz kozh, lakaat levenez e kalonoù ar wazed.
Brudet e oa gwisk faro ha doareoù ar gontez. He c'hoar Ulrika, baronez von Höpken, a oa karet, un tammig bepred, gant ar priñs [[Fredrik Adolf Sveden]] (1750-1803), ur breur d'ar roue, hahag hiAugusta a oa deuet da vout [[serc'h]] dad'e zugvreur etrehenañ, dug [[Södermanland]], ar breur etrehenañ, hag a vo ar roue [[Karl XIII]] war-lerc'h marv are breurvreur henañ [[Gustav III]] .
Un den a bouez e oa Augusta e kevredigezh ha lez Sveden en amzer-se.
 
Padout a reas he darempred gant an danvez-roue eus 1771 da 1777. Met [[serc'h]] ofisiel ne oa ket. Ha dimeziñ a reas ar priñs en 1774 da [[Hedvig Elisabet Charlotta av Holstein-Gottorp]] (1759-1818), ur vaouez kenedus ken e oa. N'en em gleve ket ar priñs gant e wreg avat abalamour d'e serc'hed. War-lerc'h Augusta e kemeras [[Charlotte Eckermann]], ha [[Charlotte Slottsberg]].
Augusta von Fersen avat a gavas serc'heged all ivez, goude dug [[Södermanland]]. Sede penaos e voe poltredet gant dugez [[Södermanland]], an danvez rouanez, en he deizlevr:
 
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La duchesse de Sudermanie la décrit ainsi dans son fameux ''Journal intime'' : « Elle est sans aucun doute charmante, sa figure est plaisante, son allure distinguée et lorsqu'elle est parée pour le bal, elle est magnifique ». En ce qui concerne ses traits de caractère, la duchesse remarque qu'elle n'a pas de mauvaise influence sur le prince Karl, et que suffisamment tolérante elle-même, elle tolère les écarts du prince avec gentillesse.« L'autreEn jourdeiz all, lae comtesseoa Löwenhielmerruet estdiwezhat arrivéear engontez retardLöwenhielm pour leda dînergoan, un quart d'heure après qu'il eut commencé et malheureusement en même temps que le baron [[famille von Essen|von Essen]]. Nous avons tous trouvé cela amusant, car nous sommes au courant de leur liaison, et personne ne pouvait s'empêcher de sourire. » La baronne von Höpken, quant à elle, remarque que « si quelque chose de la sorte pouvait arriver à un simple mortel, on ne cesserait d'en parler, mais ma sœur est toujours excusée d'avance, et l'on peut considérer cela comme une preuve de sa nature franche et ouverte qui expose au yeux du monde sa liaison avec ce pauvre Essen. » La duchesse de Sudermanie répond qu'« elle ne fait pas plus attention que les autres, mais que son bon cœur et son amabilité lui font faire preuve de gentillesse sans se mêler des affaires des uns et des autres et qu'ainsi elle est moins exposée aux sarcasmes. »
 
La duchesse de Sudermanie la décrit ainsi dans son fameux ''Journal intime'' : « Elle est sans aucun doute charmante, sa figure est plaisante, son allure distinguée et lorsqu'elle est parée pour le bal, elle est magnifique ». En ce qui concerne ses traits de caractère, la duchesse remarque qu'elle n'a pas de mauvaise influence sur le prince Karl, et que suffisamment tolérante elle-même, elle tolère les écarts du prince avec gentillesse.« L'autre jour, la comtesse Löwenhielm est arrivée en retard pour le dîner, un quart d'heure après qu'il eut commencé et malheureusement en même temps que le baron [[famille von Essen|von Essen]]. Nous avons tous trouvé cela amusant, car nous sommes au courant de leur liaison, et personne ne pouvait s'empêcher de sourire. » La baronne von Höpken, quant à elle, remarque que « si quelque chose de la sorte pouvait arriver à un simple mortel, on ne cesserait d'en parler, mais ma sœur est toujours excusée d'avance, et l'on peut considérer cela comme une preuve de sa nature franche et ouverte qui expose au yeux du monde sa liaison avec ce pauvre Essen. » La duchesse de Sudermanie répond qu'« elle ne fait pas plus attention que les autres, mais que son bon cœur et son amabilité lui font faire preuve de gentillesse sans se mêler des affaires des uns et des autres et qu'ainsi elle est moins exposée aux sarcasmes. »
 
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