Maria Tereza Spagn (1726-1746) : diforc'h etre ar stummoù

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Lavaret e oa bet e oa kaer, rok, abaf. Met displijout a rae he blev ruz da dud al lez c'hall. Gwelloc'h e kave chom en he lojeiz peurliesañ eget mont er-maez, ha kaz he doa ouzh ar c'hoarioù.
 
 
Da wilioudiñ e oa Marie-Thérèse e deroù Gouhere [[1746]], met dal a oa gant ar gwentloù. <ref > {{fr}}{{Lien web |url=http://enviedhistoire.canalblog.com/archives/2006/07/01/2214073.html |titre=Marie-Raphaëlle de Bourbon-Espagne, belle-fille de Louis XV |site=enviedhistoire.canalblog.com |consulté le =3 décembre 2010.}} </ref> Kement-se a zisplije kenañ d'an tad-kozh, ar roue [[Loeiz XV]].
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Son mariage avec le dauphin [[Louis de France (1729-1765)|Louis-Ferdinand de France]] marquait la réconciliation entre la [[France]] et l’[[Espagne]], parallèlement à celui de [[Elisabeth de France|''Madame Première'']] avec [[Philippe ier de parme|l'infant Philippe]] après l'échec des fiançailles de [[Louis XV de France|Louis XV]] et de [[Marie-Anne-Victoire de Bourbon (1718-1781)|Marie-Anne-Victoire]], sœur aînée de Marie-Thérèse et Philippe. Le mariage eut lieu le [[23 février]] [[1745]]<ref > {{fr}}{{Lien web |url=http://www.histoire-et-secrets.com/articles.php?pg=198&lng=fr |titre=Marie-Thérèse-Raphaëlle de Bourbon-Espagne |site=www.histoire-et-secrets.com |consulté le =3 décembre 2010.}} </ref> mais ne fut pas consommé dans ses premiers temps, ce qui gêna la dauphine vis-à-vis de son époux et de la cour. Très timide, distante, elle préférait la plupart du temps demeurer dans ses appartements et détestait le jeu.
 
En septembre [[1745]], l'union fut consommée, mettant fin aux commérages des courtisans, qui insinuaient que Louis-Ferdinand, âgé de 16 ans, était impuissant. Cet événement rapprocha les époux, qui passèrent dès lors la plupart du temps ensemble, dans une grande dévotion, à l’opposé du roi. La nouvelle favorite, [[Jeanne Antoinette Poisson|Mme de Pompadour]], était détestée par le dauphin qui, avec ses sœurs l'appelait ''Maman Putain'' et tout autant par Marie-Thérèse. Cette dernière fut tout aussi hostile au monarque, qui ne communiait plus depuis des années, et prétendait que «''sa timidité l’empêche totalement de lui parler''».