Januária Maria de Bragança : diforc'h etre ar stummoù
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[[File:Princesa januaria 1859.jpg|thumb|esquerda|Ar briñsez vrazilian Januária Maria de Bragança e 1859.]]
'''Januária Maria Joana Carlota Leopoldina Cândida Francisca Xavier de Paula Micaela Gabriela Rafaela Gonzaga de Bragança''', kontez Áquila ha priñsez impalaerel a Vrazil ([[Rio de Janeiro]], 11 a viz Meurzh 1822 — [[Nisa]], 13 a viz Mae 1901), a oa ur verc'h da [[Pedro Iañ Brazil]], [[Impalaer Brazil]], ha d'e bried Leopoldina. C'hoar e oa da [[Pedro II]], impalaer Brazil, ha da [[Maria II]], [[rouanez Portugal]].
==He buhez==
[[Image:Pedro II of Brazil and his sisters.jpg|thumb|Agleiz da zehoù: Francisca, Pedro II, ha Januária en kañvoù goude marv o zad, [[Pedro Iañ Brazil]], en 1834.]]
Ganet e oa un nebeudmizioù a-raok dizalc'hted Brazil. Anvet e voe Januária en enor da gêr [[Rio de Janeiro]] ma oa bet kavet repu gant [[Roue Portugal]] hag e diegezh da vare aloubadeg e vro gant armeoù gall [[Napoleone Buonaparte]] en [[1807]].
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Née au [[palais de Saint-Christophe]] quelques mois avant l'[[indépendance du Brésil]],
Une fois son père proclamé empereur du Brésil, le [[7 septembre]] [[1822]], la petite fille reçoit le surnom de « princesse de l'indépendance »<ref>Carlos Sarthou, ''Relíquias da cidade do Rio de Janeiro'', Livraria Atheneu, 1965, p. 110 ([http://books.google.fr/books?id=ptYMAQAAMAAJ&q=%22Princesa+da+Independ%C3%AAncia%22&dq=%22Princesa+da+Independ%C3%AAncia%22&hl=fr&ei=7eBDTd2BPIaM4gb_p_RS&sa=X&oi=book_result&ct=result&resnum=1&ved=0CDAQ6AEwAA Lire en ligne]).</ref>{{,}}<ref>Collectif, ''Revista do Instituto Histórico e Geográfico Brasileiro'', volumes 283 à 284, Instituto Histórico e Geográfico Brasileiro, 1970, p. 69 [http://books.google.fr/books?id=OrsjAQAAIAAJ&q=%22Princesa+da+Independ%C3%AAncia%22&dq=%22Princesa+da+Independ%C3%AAncia%22&hl=fr&ei=7eBDTd2BPIaM4gb_p_RS&sa=X&oi=book_result&ct=result&resnum=3&ved=0CDkQ6AEwAg Lire en ligne])</ref>.
Orpheline de mère en [[1826]], la princesse Janvière assiste, en [[1831]], à l'abdication et au départ de [[Pierre Ier du Brésil|Pierre I{{er}}]] qui choisit de retourner en Europe pour restaurer sa fille aînée, [[Marie II de Portugal|Marie II]], sur le trône de Portugal. Âgée d'à peine neuf ans et désormais princesse impériale du Brésil, elle se retrouve donc seule, à Rio, avec ses sœurs cadettes, les princesses Paule Marianne et [[Françoise du Brésil|Françoise]], et son petit frère, l'empereur [[Pierre II du Brésil|Pierre II]], âgé de seulement cinq ans.
Les années passant et la régence instaurée par Pierre I{{er}} se montrant de plus en plus incapable d'assurer la cohésion du Brésil, de nombreuses voix s'élèvent, dans le pays, pour nommer Janvière à la tête du pouvoir en attendant la majorité de son frère. Cependant, la princesse se montre réticente à assumer une telle charge politique et la majorité de Pierre II est finalement avancée, en [[1841]], pour qu'il puisse gouverner directement le pays<ref>James McMurtry Longo, ''Isabel Orleans-Bragança: The Brazilian Princess Who Freed the Slaves'', McFarland & Company, Inc., Jefferson, Caroline du Nord, 2008, p. 75-76.</ref>.
Après un premier projet matrimonial avec un prince de Savoie, la princesse Janvière épouse, en [[1844]], le prince [[Louis de Bourbon-Siciles]], comte d'Aquila et frère de l'impératrice [[Thérèse-Christine de Bourbon-Siciles|Thérèse-Christine du Brésil]]. Cependant, le prince ne s’entend pas avec Pierre II et Janvière et son époux ne tardent pas à quitter le Brésil pour s’installer dans le [[royaume des Deux-Siciles]].
En [[1845]], Janvière perd son statut d'héritière du trône brésilien avec la naissance de son neveu, le prince Alphonse.
Quinze ans plus tard, en [[1860]], l’[[Expédition des Mille]] de [[Giuseppe Garibaldi]] renverse la dynastie des Bourbon-Siciles et termine d'unifier l’Italie. Janvière et sa famille s’installent alors en France, où la princesse termine ses jours en [[1901]].
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[[Rummad:Impalaeriezh Brazil]]
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