Bain-marie : diforc'h etre ar stummoù
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Ar '''bain-marie''' (anv gallek ha saoznek) zo un doare da boazhat goustadik, gant ul lestr lakaet e-barzh dour tomm.
Hervez ar c'himiour alaman Lippmann e oa bet deskrivet a doare-poazhat-se gant
On attribue la vulgarisation du bain-marie à Albert le Grand ; ainsi le nom de bain-marie proviendrait du vocabulaire alchimique antique, parlant alors de « bain de Marie » en référence à l'alchimiste Marie la Juive (IIIe siècle av. J.-C.), à qui l'on attribue également l'origine de certains ustensiles de laboratoire et l'emploi de la technique comme outil. La première attestation en latin Balneum Mariae date du début du XIVe siècle, dans le Rosarium attribué à Arnaud de Villeneuve2.
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