Luca Giordano : diforc'h etre ar stummoù

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finira par un séjour à Venise entre 1653 et 1667.
 
Après avoir visité et expérimenté la plupart des grands centres artistiques de l'Italie, Giordano se forgea un style personnel, combinant dans une certaine mesure la pompe ornementale de [[Paul Véronèse]] avec les grandes compositions de [[Pietro da Cortona]].
 
Vers 1687, [[Charles II d'Espagne]] l'invita à [[Madrid]], où il restera au moins la décennie 1692-1702 pour les fresques au monastère de l'Escorial, au palais royal de Madrid et de Tolède qui conservent une partie de ses œuvres. Giordano fut populaire à la cour espagnole et le roi lui concéda le titre de « ''caballero'' ».
 
Retourné à Naples vers 1702, il continua à travailler avec la même incessante fureur créatrice. Les toujours plus nombreuses commissions le conduisirent à se servir d'un atelier de production, dans lequel des aides et des collaborateurs développaient « en grands » les projets et les ébauches fournies par le maître, complétaient des œuvres commencées par celui-ci, et sur lesquelles, dans beaucoup de cas, Giordano se limitait à finir, d'un coup de pinceau, le travail effectué par ses élèves.
 
 
==Sources==
* {{Traduction/Référence|it|Luca Giordano}}
 
==Voir aussi==
===Liens internes===
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==Oberennoù==
{{Brezhonekaat}}
*[[Amsterdam]], [[Rijksmuseum]]: ''Donne musicanti''.
*[[Aranjuez]], Palazzo Reale: ''Cattura di Cristo''.