Sklaverezh : diforc'h etre ar stummoù

Endalc’h diverket Danvez ouzhpennet
Ouzhpennet danvez, da dreiñ.
Diverradenn ebet eus ar c'hemm
Linenn 4:
E meur a vro eo lakaet ar sklaverezh da "[[torfed ouzh an Denelezh]]".
 
Ret e vez d'ar sklaved sentiñ ouzh o mestr, ne vern petra eo e urzhioù, abaoe ma'z eus anezho, pa ma'z int bet lakaet da sklav, betek o marv, pe betek o dieubidigezh.
 
Gallout a ra ar mestr prenañ, gwerzhañ, ha feurmiñ sklaved, evel n'eus forzh petore madoù all.
<!--En tant que propriété, l'esclave peut faire l'objet des transferts inhérents à la notion de propriété : on peut donc l'acheter, le vendre ou le louer.
 
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Défini comme un "outil animé" par Aristote (Ethique à Nicomaque, VI, chap. VIII-XIII), l’esclave se distingue du captif ou du forçat, conditions voisines dans l'exploitation, et de la bête de somme, par un statut juridique propre, déterminé par les règles et les lois en vigueur dans le pays et l’époque considérés. Le servage - par exemple - se différencie également de l'esclavage: l'on reconnaissait une âme ainsi qu'une personnalité juridique aux serfs. Dans les pays qui interdisent l'esclavage il peut toutefois exister des esclaves de fait.