Kourzh : diforc'h etre ar stummoù

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Kempenn
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Liammet eo korfadurezh ar c'hourzh ouzh korfadurezh organoù engehentiñ ar pared dre ma'z eo rannet etrezo bevoniezh-kreskiñ o gouenn. ..
 
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De cette façon, les organes qui ont une ascendance développementale commune seraient [[Homologie (évolution)|homologues]].
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Klotañ a ra [[mezenn]] an ellig evel-se gant mezenn ar c'halc'h, ha [[korf an ellig]] ha [[troad an ellig]] gant [[korf keviek]] ar c'halc'h. Ar muzelloù bras ha bihan ha tog an ellig a glot gant ar [[scrotum]], gant kroc'hen troad ar c'halc'h, gant [[kaezour]] ar c'halc'h.
 
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Les [[bulbe vestibulaire|bulbes vestibulaires]] sous la peau des petites lèvres sont homologues au {{lang|la|''[[corpus spongiosum penis]]''}}, le tissu du pénis qui entoure l'urètre. Les [[glande de Bartholin|glandes de Bartholin]] sont homologues aux [[glande de Cowper|glandes de Cowper]] chez les mâles.
-->
 
== Korfadur ==
[[Restr:Vulva labeled no tags.jpg|thumb|Kourzh digor. 1. Tog an [[ellig]] ; 2. [[Mezenn]] an [[ellig]] ; 3. [[Staotijenn]] ; 4. Trepasig ar c'hourzh ; 5. [[Muzelloù bihan]] ; 6. Toull ar [[gouhin]] ; 7. [[Muzelloù bras]] ; 8. Rafe ar [[perine]] ]]
 
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=== Korfadurezh dre vras===
E gouenn an dud e weler meur a lodenn e reizh ar vaouez , eus an nec'h betek an traoñ:
*ar [[moudenn|voudenn]], gant ar [[blev-gaol]], e traoñ ar c'hof,
*ar [[muzelloù bras]] , pe muzelloù diavaez,
<!--* le [[mont de Vénus]],
* les [[grandes lèvres]] ou ''lèvres externes'', placés de part et d'autre, grands replis de peau adipeux ;
* les [[petites lèvres]], ''nymphes'' ou ''lèvres internes'', replis muqueux de peaux, à l'intérieur ;
* le [[clitoris]], organe [[wikt:érectile|érectile]] et son [[Capuchon du clitoris|capuchon]] ou ''prépuce clitoridien'', au sommet des petites lèvres. Formé de deux corps caverneux, il est placé à l'avant de la vulve, et le gland du clitoris est en partie protégé par le capuchon formé par les petites lèvres. Il est caractérisé par sa sensibilité due à sa grande richesse en terminaisons nerveuses<ref name="anat"/> ;
* le [[méat urinaire]], ouverture de l'[[urètre]] par laquelle l'[[urine]] est expulsée lors de la [[miction]], en dessous du clitoris ;
* le [[vestibule vulvaire]], dépression centrale de la vulve, avec au fond de cette dépression le méat urinaire et l'entrée du vagin<ref name="anat">précis d'anatomie Grégoire et Oberlin, 1962, Baillières et fils, tome {{III}}, {{p.}}296 à 298 </ref> ;
* entre les petites lèvres, l'entrée du [[vagin]] ou [[orifice vaginal]] ;
* la [[fourchette vulvaire]], en dessous de l'orifice vaginal, qui unit les nymphes, par leur extrémité postérieure pour former le pli commissural de Jayle.
 
Ouzhpenn-se emañ ar rannoù-mañ:
* le [[périnée]], large ensemble de muscles sous la peau, tout autour de la vulve et pas seulement entre l'[[anus]] et les grandes lèvres (voir le schéma dans l'article détaillé), comprenant en particulier le [[muscle pubo-coccygien]] dont la [[tonus musculaire|tonicité]] peut être renforcée par un [[exercice de Kegel]] et jouer un rôle important dans les [[relations sexuelles]] ou simplement pour la rééducation périnéale après un [[accouchement]].
* des [[Glande sébacée|glandes sébacées]], sur les grandes lèvres ;
* les glandes vaginales, moins visibles à l'œil nu :
** les [[glande de Bartholin|glandes de Bartholin]], deux petits orifices situés à gauche et à droite de l'orifice vaginal, dans l'épaisseur des grandes lèvres, qui sécrètent de la [[cyprine (sécrétion)|cyprine]] pour la [[lubrification]] vaginale. D'une dimension d'environ {{unité|15|mm}} × {{unité|8|mm}} × {{unité|5|mm}}, leurs orifices s'ouvrent dans le sillon sous-hyménéal entre l'hymen et les petites lèvres<ref name="anat"/> ;
** les [[Glande de Skene|glandes de Skene]], deux petits orifices à gauche et à droite du méat urinaire, qui peuvent expulser un fluide proche du [[liquide séminal]] masculin à l'approche ou au moment de l'[[orgasme]].
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=== Kresk ===
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Ar pubis, anezhañ ur voudennig vlot dirak ar c'hourzh, zo graet gant un danvezenn druz a c'holo ar ''symphyse pubienne'', ha ''mons pubis'' eo an anv latin, ne vern pe da baotr pe da blac'h eo. Gant ar vaouez e teu ar ''mons pubis'' da vezañ ''mons veneris'' da lavarout eo « [[Menez Gwener]] » pe menez ar Garantez.
 
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Le mont de Vénus se sépare en deux replis [[peau|cutanés]], allongés sagitalement sur environ huit centimètres, présentent une face interne lisse et une face externe couverte de poils. Leur partie antérieure atteint le [[mont de Vénus]] couvert de poils pubiens et leur partie postérieure se rejoint en formant la commissure postérieure<ref name=anat/>. La dénomination courante est les « grandes lèvres » ({{lang|la|''labia majora''}} en latin, litt. les « lèvres principales ») mais une autre appellation, plus récente et plus juste serait les « ''lèvres externes'' » pour les différencier des « ''lèvres internes'' » car certaines femmes ont des petites lèvres plus grandes que les lèvres principales (dans ce dernier cas, elles sont mal dénommées : « grandes »).
 
Les lèvres internes, dénommées aussi « petites lèvres » ({{la}} {{lang|la|''labia minorae''}}) sont deux replis mous de [[peau]] à l'intérieur des lèvres externes ou « grandes lèvres » ({{la}} {{lang|la|''labia majorae''}}). Alors que les {{lang|la|''labia minorae''}} sont traduites littéralement en tant que « lèvres mineures », ou « petites lèvres », il arrive souvent que ces lèvres « {{lang|la|''minorae''}} » soient de taille considérable, et saillent extérieurement des « {{lang|la|''majorae''}} ». Une grande partie des différences entre les vulves est dans la variation significative de la taille, forme et couleur des lèvres internes du sexe de la femme.
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[[Restr:Vulva1.jpg|thumb|left|Faout ar c'hourzh, touzet.]]
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<!--Adalek an trede miz (...) a zeu da vout [[ellig]].-->
La fente [[antéro-postérieur]]e (d'un axe allant de la partie avant à la partie arrière) entre les deux grandes lèvres s'appelle la « fente vulvaire », dite ''fente [[périnée|pudendale]]'', dénommée aussi ''fente de Vénus'' pour la femme. Elle contient et protège les autres structures plus sensibles de la vulve. Les lèvres externes se divisent sous le mont de Vénus puis se rejoignent dans un secteur plat entre la fente pudendale et l'anus, appelé [[périnée]] ({{la}} {{lang|la|''perineum''}}). La couleur de la peau extérieure aux lèvres externes est habituellement proche de la couleur globale de la peau de l'être, bien qu'il y ait des variations considérables. La peau et les [[muqueuse]]s internes sont souvent de couleur rose ou brunâtre. Après le début de la [[puberté]], le mont de Vénus et les lèvres externes deviennent couverts par le [[poil pubien]]. Cette pilosité se prolonge parfois aux cuisses et au périnée intérieurs.
 
Le [[clitoris]] est placé à l'avant de la vulve, où se rejoignent les lèvres internes. La partie évidente du clitoris est le ''[[gland du clitoris]]'' ({{la}} {{lang|la|''glans clitoridis''}}, litt. « gland clitoridien »). Typiquement, le gland du clitoris possède la taille et la forme d'un [[petit pois]], bien qu'il puisse être sensiblement plus grand ou plus petit. Il est extrêmement sensible, et contient autant de terminaisons nerveuses que l'organe analogue chez les mâles, le ''[[gland (anatomie)|gland du pénis]]''. Le point où s'attachent les lèvres internes, proche du clitoris, s'appelle le ''[[frein du clitoris]]'' ({{la}} {{lang|la|''frenulum clitoridis''}}). Un [[prépuce]], ou [[capuchon du clitoris|capuchon clitoridien]], normalement couvre et protège le clitoris. Toutefois chez les femmes avec un clitoris particulièrement grand ou avec un petit prépuce, le gland du clitoris peut s'exposer partiellement ou complètement à tout moment. Il arrive souvent que seul le capuchon du clitoris soit partiellement caché à l'intérieur de la fente [[pudenda]]le.
 
La région entre les lèvres internes s'appelle le [[vestibule vulvaire]], et il contient les ouvertures vaginales et [[urétral]]es. L'[[hymen (biologie)|hymen]] marque la limite entre le vestibule et l'entrée du vagin. Le vestibule est limité latéralement par les [[petites lèvres]]<ref name=anat/>.
 
Le [[méat urinaire]] ({{la}} {{lang|la|''meatus''}}, litt. « ouverture urétrale ») est localisé au-dessous du clitoris et au-dessus de l'ouverture vaginale. C'est par le méat que jaillit l'urine de la [[vessie]] vers l'extérieur du corps.
 
L'ouverture du vagin est localisée au fond du vestibule vulvaire, vers le périnée. Le terme « ''introït'' », du latin {{lang|la|''introitus''}}, est techniquement plus correct que « ouverture », puisque le vagin est effondré en temps normal, avec l'ouverture fermée, à moins que quelque chose n'y soit inséré. L’introït est parfois en partie recouvert par une membrane, appelée ''[[hymen (biologie)|hymen]]''. L'hymen se rompt pendant le premier [[coït]] vaginal vigoureux, et le sang produit par cette rupture est perçu, dans certaines cultures, comme une confirmation de [[virginité]]. Cependant, l'hymen peut également se rompre spontanément au cours d'[[Exercice physique|exercices]], ou être étiré par des activités normales telles que l'utilisation de [[Tampon hygiénique|tampons hygiéniques]], ou être trop petit pour être apparent. Dans quelques rares cas, l'hymen peut complètement recouvrir l'ouverture vaginale, exigeant la [[Hyménotomie|séparation chirurgicale]]. Légèrement au-dessous, à gauche et à droite de l'ouverture vaginale sont deux [[glande de Bartholin|glandes de Bartholin]] qui produisent une substance cireuse, la [[cyprine (sécrétion)|cyprine]] qui contient des [[phéromone]]s, et dont le but n'est pas entièrement connu.
 
L'aspect de la vulve, la taille de ses diverses parties et leur couleur changent beaucoup d'une femme à une autre<ref name="anat"/>, et il est commun que les côtés gauche et droit diffèrent dans l'aspect.
 
== Développement ==
[[Image:Gray1119.png|thumb|right|Phases de développement de la vulve, schémas A, B, D et F]]
=== Krouell ===
Pendant les huit premières semaines suite à la [[Fécondation|conception]], les [[fœtus]] masculins et femelles ont les mêmes organes reproducteurs et sexuels rudimentaires, et les hormones maternelles commandent leur développement. Les organes masculins et femelles commencent à devenir distincts quand le fœtus peut commencer à produire ses propres hormones, bien que la détermination évidente du sexe soit difficile jusqu'à la douzième semaine<ref>[http://www.dgpc.ulaval.ca/bio90192/chap7/reprodev.htm Développement embryonnaire de l'appareil reproducteur - Gilles Bourbonnais]</ref>.
 
Pendant la sixième semaine d'[[aménorrhée]] gravidique, le [[tubercule génital]] se développe devant la [[membrane cloaquale]]. Le tubercule contient une fente nommée la [[fente uréthrale]]. Le [[sinus urogénital]]<ref>[http://www.embryology.ch/francais/ugenital/genitinterne06.html Sexe féminin : différenciation des glandes accessoires et différenciation du sinus urogénital</ref> (précurseur de la [[vessie]]) s'ouvre dans cette fente. De chaque côté de la fente, on trouve [[les plis urogénitaux]]. Près du tubercule, il existe une paire d'arêtes appelées les [[plis labioscrotaux]].
 
Adalek an trede miz de développement fœtal, le tubercule génital a zeu da vout [[ellig]]. Les plis urogénitaux deviennent les [[petites lèvres]], et les [[plis labioscrotaux]] deviennent les [[grandes lèvres]].
 
=== Enfance ===
[[Image:Genital tubercle 14 weeks.JPG|thumb|Tubercule génital du [[fœtus]] à {{unité|14|semaines}}]]
À la naissance, la vulve du nouveau-né (et les seins) peuvent être gonflés ou agrandis en raison de l'exposition, par l'intermédiaire du placenta, à des niveaux d'hormone élevés par sa mère. Le clitoris est proportionnellement plus grand qu'il est susceptible d'être, plus tardivement dans la vie. Au cours d'une période courte quand ces hormones s'en iront, la vulve rétrécira en taille.
 
D'un an jusqu'au début de la puberté, ou période d'[[enfance]], la vulve ne subit aucun changement d'aspect, autre que sa croissance en proportion avec le reste du corps.
 
=== Puberté ===
Le début de la [[puberté]] produit un certain nombre de changements. Les structures de la vulve deviennent proportionnellement plus grandes et peuvent devenir plus prononcées. La coloration peut changer et le [[poil pubien]] se développer, d'abord sur les [[petites lèvres]], et s'écarter plus tard au [[mont de Vénus]], et parfois aux cuisses et au [[périnée]] intérieurs.
 
Chez les filles préadolescentes, la vulve semble être placée plus loin en avant que chez les adultes, montrant un plus grand pourcentage des [[grandes lèvres]] et de la fissure pudendale en position debout. Pendant la puberté, le [[mont de Vénus]] s'élargit, repoussant les [[grandes lèvres]] en avant, loin de la [[symphyse pubienne]], et parallèlement au sol (toujours en position debout). Les variations des niveaux de la graisse corporelle affectent l'ampleur avec laquelle ceci se produit.
 
=== Accouchement ===
Pendant l'[[accouchement]], le vagin et la vulve doivent se distendre pour s'adapter à la tête du bébé (approximativement de {{unité|9.5|centimètres}}). Ceci peut avoir comme conséquence un déchirement de la peau à l'ouverture vaginale, des lèvres, du clitoris. Une [[épisiotomie]] (l'incision chirurgicale [[prophylaxie|prophylactive]] du ''perineum'') est parfois exécutée pour limiter une possible déchirure, mais son application systématique en tant que routine chirurgicale est largement discutée actuellement.
 
Certains des changements qui se produisent pendant la [[grossesse]] peuvent être permanents.
 
=== Post-ménopause ===
Pendant la [[ménopause]], les niveaux d'hormone diminuent, et avec eux la sensibilité des tissus vulvaires diminue également. Le {{lang|la|''mons pubis''}}, les lèvres, et le clitoris peuvent réduire en taille, bien qu'habituellement, pas dans les proportions pré-pubertaires.
 
== Cycle de la réponse sexuelle ==
{{détails|Cycle humain de la réponse sexuelle}}
 
Au cours des [[Comportement érotique|activités érotiques]], l'[[excitation sexuelle]] entraîne un certain nombre de modifications physiques dans la vulve. L'excitation peut se décomposer selon les travaux de [[Masters et Johnson]] en quatre phases un peu arbitraires : l'excitation, le plateau, l'[[orgasme]] et la résolution.
 
=== Phase d'excitation ===
L'excitation sexuelle commence par la [[lubrifiant anatomique|lubrification vulvo-vaginale]] qui agit autant à l'intérieur qu'à l'extérieur du [[vagin]] : la [[cyprine (sécrétion)|cyprine]] s'écoule des [[Glande de Bartholin|glandes de Bartholin]] pour lubrifier les [[petites lèvres]]. À l'intérieur du vagin, une vasocongestion (le sang qui s'accumule) se forme dans les parois vaginales qui provoque de l'humidité qui suinte à l'extérieur des parois. Cette humidité finit par s'amasser en fines gouttelettes qui perlent alors dans un flux qui sort du vagin pour humidifier la vulve. Contrairement aux hommes, où l'excitation sexuelle produit des variations manifestes – une [[érection]] – les femmes ne sont pas nécessairement conscientes du fait que la lubrification vaginale et l'engorgement du sang dans leur vulve s'est produite.
 
Les [[grandes lèvres]] s'aplatissent et s'écartent l'une de l'autre, le [[clitoris]] et les petites lèvres augmentent en taille.
 
=== Phase en plateau ===
La vaso-congestion des tissus profonds dans le vagin provoque son gonflement, ce qui fait diminuer de taille l'orifice vaginal d'environ 30 %. L'érection du clitoris est de plus en plus forte, et son gland se déplace vers la [[symphyse pubienne]], restant dissimulé par le prépuce au début de l'excitation mais en deuxième temps, apparaît et disparaît à travers le prépuce en cas d'excitation continue<ref>[http://www.pathol08.com/sexe/article.php?sid=143 Réponse sexuelle normale chez la femme - Réseau informations médicales en sexologie]</ref>.
 
Les petites lèvres augmentent considérablement, environ 2 à 3 fois en volume : béantes, elles affichent l'ouverture vaginale. Tumescentes, elles changent considérablement de teinte colorée, allant du [[Rose (couleur)|rose]] au [[rouge]] chez les femmes qui n'ont pas eu la charge d'un enfant ''(nullipares)'', ou au rouge (très) vif (couleur vin) chez celles qui ont eu un enfant ''(multipares)''.
 
Les grandes lèvres deviennent plus plates et participent à la contraction musculaire pendant l'excitation et durant l'orgasme chez les femmes nullipares. Chez les femmes ''multipares'' qui développent un réseau vasculaire plus étendu, les grandes lèvres peuvent augmenter dans ce cas de 2 à 3 fois de volume sous l'effet de la vaso-congestion.
 
À ce stade, la femme est entièrement prête pour un [[rapport sexuel|rapport vaginal]].
 
=== L’orgasme ===
{{détails|Orgasme}}
Immédiatement avant l'orgasme, le clitoris devient exceptionnellement engorgé, ce qui fait disparaître le gland sous le prépuce clitoridien tumescent. La théorie veut que cela soit pour protéger le gland devenu sensible au cours de l'orgasme. Cependant, quelques réserves sont émises sur le fait que cela soit le cas, puisque dans la structure masculine homologue, le [[pénis]], le même engorgement se produit avant l'orgasme, dont la fonction est censée allonger le pénis aussi près que possible vers le col de l'utérus avant l'éjaculation.
 
Des [[contraction musculaire|contractions musculaires]] rythmiques et involontaires se produisent dans le tiers externe du vagin, ainsi que dans l'utérus et autour de l'[[anus]]. Il s'en produit d'abord une environ toutes les {{unité|0.8|secondes}}, puis elles deviennent moins intenses et plus espacées aléatoirement tant que l'orgasme continue. En fonction de son intensité, un orgasme peut avoir aussi peu qu'une contraction ou avoir plus de quinze contractions (dit aussi « orgasmes répétés »). Il peut aussi être accompagné chez 40% des femmes d'une [[éjaculation féminine]], constituée essentiellement d'[[urine]] (parfois jusqu'à 100 ml)<ref name="schubach">SCHUBACH Gary. Urethral expulsions during sensual arousal and bladder catheterization in seven human females. Ed.D. thesis, Institute for Advanced Study of Human Sexuality, 1996</ref>.
 
Immédiatement après l'orgasme, le clitoris peut être tellement sensible que toute stimulation en est inconfortable.
 
=== Phase de résolution ===
La période réfractaire se caractérise par une intumescence des vaisseaux sanguins au niveau des structures externes et internes : l'afflux de sang commence à se dissiper, bien qu'à un rythme beaucoup plus lent si l'orgasme n'a pas eu lieu.
 
Les organes génitaux se replient dans leur emplacement initial : le clitoris se rétracte sous son prépuce ; le vagin et l'ouverture vaginale retournent à leur état normal et détendu. Le reste de la vulve, grandes et petites lèvres reviennent en position, couleur et taille normale.
-->
 
== Dourennoù ha c'hwezh ==
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[[Image:Female genitalia.JPG|thumb|Flore vulvo-vaginale microbienne normale. La vulve est habituellement enduite de sécrétions : [[glaire (anatomie)|glaire]], [[smegma]], etc.]]
La vulve est le siège de sécrétions. Des odeurs désagréables ou des changements dans la consistance des fluides (purulence, symptômes d'inflammation, de rougeur) peuvent alerter sur des pathologies. C'est pourquoi son [[hygiène]] régulière est importante afin de maintenir une bonne [[santé vulvovaginale]].
 
Il y a un certain nombre de différentes sécrétions liées à la vulve : la [[sueur]], l'[[urine]], les sécrétions cutanées ou le [[sébum]], et aussi :
 
=== Sécrétions liées à l'acte sexuel ===
Lors de l'[[excitation sexuelle]], l'intérieur des petites lèvres est naturellement lubrifié par les [[sécrétion]]s des [[glande de Bartholin|glandes de Bartholin]] afin de faciliter la [[pénétration]]. Les [[glande de Skene|glandes de Skene]], elles, participent faiblement à l'éjaculation féminine.
 
=== Menstruations ===
La période des « [[menstruation|règles]] » (ou période ''menstruelle'') est caractérisée par des ''flux'' ou [[saignement]]s plus ou moins importants qui s'écoulent du vagin par la vulve, sauf en cas d'utilisation d'un dispositif hygiénique comme le [[tampon hygiénique]], la [[serviette hygiénique]] se contentant de recueillir ces flux à la sortie de la vulve.
 
=== Glaires ===
==== Sécrétions vaginales ====
Il s'agit d'un écoulement laiteux qui apparaît sur la vulve, résultat de la [[desquamation]] vaginale et/ou de l'utérus : ces « pertes blanches » sont l'exagération de la sécrétion génitale normale pour nettoyer les cellules mortes présentes sur la paroi vaginale ([[flore vaginale]] pour la sécrétion liée au [[vagin]], qui comprend le [[bacille de Doderlein]] dont l'acidité est protectrice) et/ou celle de l'utérus. Elles peuvent être mousseuses, filantes, glaireuses, blanches ou sales, jaunâtres, verdâtres. Ce sont des sécrétions normales et qui tachent le [[Culotte (vêtement)|linge]].
 
==== Glaire cervicale ====
 
{{détails|Glaire cervicale}}
 
L'écoulement associé à l'[[ovulation]] s'appelle la [[glaire cervicale]]. Elle est familièrement appelée « blanc d'œuf » à cause de sa consistance lorsqu'elle est épaisse. Elle apparaît dès la puberté et on la retrouve séchée sous forme de croûte sur le linge.
 
Suivant les périodes, on la trouve plus ou moins fluide, transparente ou blanche. La période d'[[ovulation]] est caractérisée par une glaire importante, cyclique et régulière, ce qui peut être un indice pour la [[fécondation]]. Élaborée à l'intérieur du col de l'utérus, elle apparaît {{unité|48|heures}} avant l'ovulation et parvient à son maximum d'abondance et de fluidité au moment même de l'ovulation. Cependant, on peut trouver une abondance de glaire en d'autres périodes. Et cela n'est pas forcément anormal.
 
Elle n'est pas à confondre avec les pertes blanches, ni avec le smegma, ni avec les [[leucorrhée]]s pathologiques : de façon générale, la glaire cervicale est un phénomène naturel et régulier du sexe de la femme (sans symptôme, ni inflammation, ni rougeur).
 
=== Smegma ===
 
{{détails|Smegma}}
 
Le [[smegma]] est une substance (de type « fromage blanc ») formée d'une combinaison des cellules mortes, de sécrétions cutanées, d'humidité et de [[bacteria|bactéries]] naturelles, qui se forme dans les organes génitaux des mammifères. Chez les femmes, il se rassemble autour du clitoris et des plis labiaux au bout de trente-six heures de négligence hygiénique<ref>Livre ''[[Le Sexe de la femme]]'' de [[Gérard Zwang]]</ref>.
 
=== Acides aliphatiques ===
 
Approximativement un tiers des femmes produisent des acides [[composé aliphatique|aliphatiques]]. Ces acides sont une classe piquante des produits chimiques que d'autres espèces [[primates]] produisent en tant que signaux sexuel-olfactifs. Alors que se tient toujours un débat à leur sujet, les chercheurs se réfèrent souvent à eux en tant que [[phéromone]]s humains. Ces acides sont produits par les bactéries normales résidentes sur la peau. La teneur en acide change avec le [[cycle menstruel]], augmentant le jour d'après la [[menstruation]], et faisant un pic à la moitié du cycle, juste avant l'[[ovulation]].
 
== Pathologies gynécologiques ==
 
[[Image:Gynaecology-1822.jpg|thumb|[[Gynécologie]] en 1822. Position de « compromis » du médecin : à genou, pour auscultation des « parties honteuses » et respect des [[bonnes mœurs]] de l'époque.]]
 
La [[gynécologie]] est la branche de la médecine concernant le diagnostic et le traitement des maladies et des troubles liés à la vulve. Comme des examens réguliers permettent de détecter tout changement anormal dans la région vulvaire, une femme devrait se faire ausculter régulièrement tout au long de sa vie pour une prévention efficace des maladies. Plusieurs types de [[pathologie]]s sont définies, une liste descriptive et complète de celles-ci peut être trouvée dans le chapitre {{XIV}} de la [[liste de codes CIM-10]].
 
Dans la catégorie des taches et des [[kyste]]s, plusieurs types d'[[angiome]], malformation bénigne, peuvent apparaître sur la vulve. Les [[éphélide]]s, qui sont des taches de rousseur, ne constituent pas une menace pour sa santé; par contre, le [[kyste épidermique]], la [[lentigine]] solaire et le [[naevus melanocytaire]] peuvent faire l'objet d'une intervention médicale. La vulve attire des [[maladie infectieuse|maladies infectieuses]] nombreuses, dont la [[blennorragie]], [[infection sexuellement transmissible]] bactérienne grave si elle n'est pas traitée promptement.
 
D'autres [[infection]]s possibles sont : la [[candidose]] vaginale, la [[dermatophytose]] (une [[mycose]]), l'[[herpès génital]] (ou « Herpes simplex »), l'[[hidrosadénite]], le [[molluscum contagiosum]], la [[vaginose]] bactérienne, les [[verrue]]s (dues au [[papillomavirus]] ou aux [[condylome]]s acuminés), le [[zona]] (« Herpes zoster »).
 
Dans le domaine des maladies [[inflammation|auto-immunes]] affectant la peau et les muqueuses de la vulve : l'[[eczéma]] (ou ''dermatite'') est une forme d’allergie habituellement non-contagieuse, alors que d'autres formes plus ou moins sévères, peuvent avoir des épisodes de courte durée, intermittentes ou chroniques comme le [[lichen plan]], le [[lichen scléreux]] (rare) ou le [[lichen simplex]]; le [[pemphigus]] profond, la [[dermatose bulleuse|pemphigoïde bulleuse]], le [[psoriasis]] et la [[vulvite]] étant d'autres inflammations.
 
Des syndromes douloureux peuvent induire des pressions sur l’''introït'', l’entrée du vagin, par le [[vaginisme]] ou la [[vestibulite]] vulvaire. La [[vulvodynie]], elle, est une douleur vulvaire diffuse, qui peut être ressentie partout dans la région vulvaire. Le [[cancer]] de la vulve est composé de tumeurs malignes : [[carcinome spinocellulaire]] (qui est le type le plus courant), le [[carcinome basocellulaire]] et le [[mélanome]]. Les symptômes du cancer de la vulve incluent des démangeaisons, une grosseur ou une plaie sur la vulve qui ne guérit pas et/ou qui s'agrandit, et cause (parfois) une gêne, une douleur, un renflement dans la région vulvaire. Les traitements peuvent indiquer une [[vulvectomie]], le retrait d'une partie de la vulve.
 
L'[[Ulcère|ulcération]] de la vulve comprend l'[[ulcère de Lipschätz]], le [[phagédénisme]] qui induit une destruction des tissus, qu'il soit humide ou sec, l'[[Aphte|ulcère aphteux]] des lèvres vulvaires, et la [[maladie de Behçet]]. Des malformations qui sont le plus souvent [[congénitale]]s sont : le [[vagin cloisonné]], une ouverture vaginale extrêmement proche de l'urètre ou de l'anus, un [[hymen]] imperforé, un [[clitoris]] agénésique ; différentes étapes de la masculinisation des organes génitaux, y compris par fusion des grandes lèvres, une absence du vagin ou une formation partielle du vagin, l'urètre située sur le clitoris, l'[[hermaphrodisme]].
 
D'autres classifications pour des atteintes vulvaires sont : les [[adhérences labiales]], l'[[épisiotomie]], le [[lymphangiome vulvaire]], la [[maladie de Bowen]], la [[néoplasie]] intraépithéliale vulvaire, la [[papulose bowénoïde]], la périnéodynie (une douleur périnéale), la [[vaginite]], les [[varices]] vulvaires.
-->
 
== Kempenn ar c'hourzh ==
Linenn 225 ⟶ 75:
Darn a ya betek muturniañ pe toullañ ar c'hroc'hen.
 
<!--
 
=== Esthétique et piercing ===
 
{{détails|Esthétique|Piercing}}
 
Dans certains cas, les gens choisissent d'avoir des organes génitaux [[piercing|percés]], [[tatouage|tatoués]] ou toute autre modification pour des raisons esthétiques ou autres. La [[chirurgie esthétique]] des organes génitaux féminins comprend une chirurgie [[laser]] de resurfaçage des lèvres pour enlever les rides, un repositionnement clitoridien pour celles qui n'arrivent pas à atteindre une stimulation optimum, une [[labiaplastie]] (réduction de la taille des petites lèvres) et un [[vaginoplastie|resserrement du vagin]].
 
=== Mutilations ===
 
{{détails|Mutilations génitales féminines}}
 
Dans certains pays, la forme la plus commune des altérations des organes génitaux est la [[mutilation génitale]] : l'ablation d'une partie des organes génitaux féminins pour des raisons culturelles, religieuses ou autres raisons non médicales. Ces procédures peuvent être très controversées lorsqu'elles sont effectuées sur des mineures, comme en témoigne leur nom premier, la [[mutilation]].
 
Dans certaines civilisations, on pratique la « circoncision féminine » ou l'[[excision]] (ablation) du clitoris et/ou des petites lèvres, et aussi l'[[infibulation]], c'est-à-dire la [[suture (médecine)|suture]] des petites lèvres de façon à ne laisser passer que les menstruations et l'urine. Cette pratique douloureuse et mutilante est illégale dans les [[pays occidentaux]] et de plus en plus d'[[État]]s de la planète punissent ces violences faites aux femmes qui entraînent une déformation permanente, ou difficilement réversible.
 
== Attitudes culturelles ==
 
Depuis les débuts de l'[[islam]], les musulmans, femmes et hommes, ont suivi la tradition de « s'arracher les poils des aisselles et de raser les poils pubien ». Il s'agit là d'une pratique privilégiée plutôt qu'une obligation, et pourrait être réalisée par rasage, épilation, cire, ou toute autre méthode. Et c'est une pratique qui n'est plus considérée comme une forme de culte dans certaines cultures musulmanes pieuses, ni une pratique honteuse, alors que dans d'autres régions moins pieuses, c'est une pratique en vue d'une bonne hygiène. (Voir la [[Fiqh|jurisprudence islamique]].) Les raisons de la suppression de ces poils pourrait également être appliqué aux poils sur le scrotum et autour de l'anus, parce que le but est d'être complètement propre, pur et à l'abri de tout ce qui peut causer de la saleté et des impuretés.
 
Dans la culture occidentale, le [[rasage]] ou l'[[épilation]] de la vulve est un phénomène assez récent, surtout aux [[États-Unis]], mais qui a été répandu, le plus souvent sous la forme d'épilation à la cire, dans de nombreux pays d'[[Europe de l'Est]] et cultures du [[Moyen-Orient]] pendant des siècles, avec la croyance générale que c'est plus [[hygiène|hygiénique]]. Les maillots de bain échancrés à l'aine ont contraint leurs porteurs de se raser les côtés de leurs triangles pubiens. Le rasage peut être ''intégral'' ou inclure la presque totalité des poils. Certains styles font conserver une « piste de course » (de chaque côté des lèvres) ou une « piste d'atterrissage » (on dit aussi « ticket de métro » ) directement au-dessus et aligné avec la fente vulvaire. Voir l'article sur les [[Poil pubien|poils pubiens]].
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=== Mezh ===
 
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{{Article détaillé|Pudeur}}
 
[[Image:Masaccio-TheExpulsionOfAdamAndEveFromEden-Restoration.jpg|thumb|''L'expulsion du Jardin d'[[Éden]]'', fresque de [[Masaccio]] avant et après restauration, Florence, Italie. Tableau peint en 1425, altéré en 1680 et restauré en 1980.]]
 
Beaucoup de sculpteurs et de peintres ont choisi de ne pas représenter de vulves dans leurs œuvres, même quand ils représentent des femmes nues. La région pubienne était souvent recouverte d'un morceau de tissu, ou d'une [[feuille de vigne]].
 
Dans le cas d'une fresque comme celle de ''L'expulsion d'Adam et Ève du Jardin d'[[Éden]]'' de [[Masaccio]], les feuilles de vigne furent ajoutées trois siècles après que l'original a été peint, probablement à la demande de [[Cosme III de Médicis|Cosme {{III}} de Médicis]] à la fin du {{s-|XVII|e}}, qui a jugé sa nudité répugnante. Pendant sa restauration dans les [[années 1980]], les feuilles de vigne ont été enlevées, de même que des siècles de saleté pour restaurer la fresque dans son état original.
 
Souvent, quand elle était affichée ou posée par un modèle féminin nu, la vulve ainsi que sa représentation physique manquait de [[poils pubiens]], indépendamment du fait qu'elle serait effectivement visible dans cette pose. Dans les temps modernes, les artistes japonais de l'[[anime]] représentent souvent des personnages féminins, sans vulves (en pornographie [[hentai]], aussi) pour se conformer à la [[censure]] des lois. La vue d'une vulve glabre peut être source d'excitation sexuelle pour les uns : voir [[acomoclitisme]].
 
Comme à travers l'histoire, la représentation réelle ou artistique des vulves était rare, les normes esthétiques de la représentation de la vulve de l'Occident se sont développées après que la [[pornographie]] visuelle se fut répandue. Actuellement, la désaturation des couleurs est souvent utilisée pour purger les images photographiques des associations à caractère pornographique.
 
=== Représentation artistique et symbolique ===
 
{{Article détaillé|Représentation artistique du nu}}
 
De tous temps, la vulve est l'objet d'images et de symboles divers. Pourtant, de nombreuses cultures ont couramment désigné la vulve comme une chose honteuse qui devrait être caché ; par exemple, le terme latin {{lang|la|''pudendum''}}, qui désigne les organes génitaux externes, signifie littéralement « chose honteuse ». Cependant, certaines cultures ont célébré et même vénéré la vulve ; certaines sectes [[hindou]]es l'adorent sous le nom de [[yoni]], et des textes semblent indiquer une attitude similaire dans certaines anciennes religions du [[Proche-Orient ancien]]. Une telle vénération peut faire partie de croyances [[Néopaganisme|néopaganiques]], comme certains aspects du [[culte de la Déesse]], et peut être indiquée (vue) dans des œuvres d'art [[paléolithique]]s. D'autres cultures considèrent certaines parties de la vulve ou son ensemble, d'être « [[impur]] » et peuvent aller aussi loin que de préconiser la prétendue « [[circoncision féminine]] », qui en fait se décline en plusieurs niveaux de sévérité.
 
 
== Voir aussi ==
{{Commonscat|Female genitalia}}
{{commonscat|Vulva symbols|Symboles de la vulve}}
{{wiktionnaire}}
 
 
=== Articles connexes ===
* [[Vagin]]
* [[Sexe]]
* [[Poil pubien]]
* [[Mont de Vénus]]
 
 
 
 
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== Yec'hed ha naetadurezh ==
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Kizidikoc'h eo ar c'hourzh eget ar c'halc'h ouzh ar mikroboù.
 
Abalamour da ziwall diouzh [[c'hwezh]] ha c'hwezhenn e weler kalz merc'hed oc'h implij kalz [[dour]] ha kalz produioù c'hwezh-vat. Ret eo diwall ouzh ar produioù implijet, leun a elfennoù kimiek a ra droug d'ar c'hroc'hen dreist-holl en ul lec'h kizidik. Gallout a reer aes tapout ur [[vaginitis]], bilimadur ar gouhin.
 
Liammet eo yec'hed ar c'hourzh ouzh an doare-bevañ, an evezh taolet ouzh an naetadurezh, ar boued yac'h. Ret eo implij soavonoù dous, naturel, organek, ha gwalc'hiñ eus a-raok war-du an a-dreñv.
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== Liammoù ==
[[Restr:Vulva (brasilian haircut).jpg|thumb|230px|right|Kourzh]]
* {{fr}} [http://www.biologieenflash.net/animation.php?ref=bio-0055-2 Organoù reizhel ar merc'hed].
* [http://www.aly-abbara.com/livre_gyn_obs/termes/vulve.html Kourzh deskrivet ]
* [http://www.3dvulva.com/ Vulve en animation 3D] (animation Flash)
 
== Skeudennoù ==
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Image:Vulvas prehistóricas.jpg|Tresadennoù eus [[oadvezh ar maen]]
Image:Vulve stylisée.JPG|Maen [[paléolithique]] , ur c'hourzh treset warnañ, Musée des antiquités nationales, [[Saint-Germain-en-Laye]].
Image: Linga-Yoni.jpg|Linga-Yoni, un [[pénis|linguam]] dans un [[yoni]], symbole de fertilité et d'union des deux sexes.
Image:Cattien stone yoni.png|[[Yoni]], représentation sculpturale hindoue du « passage divin », « lieu de naissance », ou du « temple sacré ».
Image:Kilpeck Sheelagh na Gig.jpg|''[[Sheela na Gig]]'', delwenn farsus, dezhi ur c'hourzh brasaet.
Image:NAMA Phallus ailé.jpg|Couvercle attique à figures rouges. Tri c'hourzh hag ur c'halc'h askellek.
Image:Pica drevorezba.jpg|Arouez [[Píca|Píča]], représentation stylisée d'une vulve.
Image:Origin-of-the-World.jpg|''[[Orin ar bed]]'', taolenn livet gant [[Gustave Courbet]], 1866
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