Konsul : diforc'h etre ar stummoù

Endalc’h diverket Danvez ouzhpennet
D Bot : fr:Consul (Rome antique) a zo ur pennad vat; Kemm dister
Linenn 9:
 
== Konsuled Roma ==
E Roma e veze dilennet daou gonsul bep bloaz , adalek dibenn Roueelezh Roma, a-hed amzer [[Republik Roma]] ha, daoust ma oa kollet o galloud gante neuze, dre vras betek dibenn an [[Impalaeriezh roman]].
 
Ar '''c'honsulvezh''' eo an amzer ma pad karg ur c'honsul e [[Roma]] gozh. Hervez ar skridoù kozh n'eo ket un ensavadur a orin latin, peogwir e oa c'hoarvezet kemend-all e Gres a-raok. Pa oa nevez kouezehtkouezhet ar roueelezh e oa troet an dud da zilenn un den hepken, galoudgalloud bras dezhañ, evit ur prantad berr hepken.
 
 
<!--
Aujourd'hui encore, les historiens ne savent pas d'où peut provenir l'idée d'un pouvoir partagé à l'identique pour une durée faible. L'idée romaine semblerait donc profondément originale, bien qu'il y ait eu des précédents en Grèce[1].
 
Dans les premiers temps de la République romaine, les premiers magistrats, toujours deux (principe de collégialité, ou imperium duplex), s'appelaient praetores (préteur). Ce terme se retrouve ensuite dans le nom que portent les officiers à la tête des armées romaines, dans la désignation de la tente principale d'un camp légionnaire (praetorium), dans la garde de certains généraux en chef à l'époque républicaine, la Garde prétorienne, ou dans la Porta Praetoria. À partir de 305 av. J.-C. environ, le terme consules est introduit. Il signifie vraisemblablement "ceux qui vont ensembles" (alors que praetor signifie "celui qui va de l'avant"), et provient étymologiquement de con (ensemble) et de salio.
Linenn 30:
 
Enfin, quand la dictature est tombée en désuétude, après les guerres puniques, les pleins pouvoirs étaient remis aux consuls par un senatus consulte ultimum : viderent operam consules, ne quid respulica detrimenti caperet (prenez garde consuls à ce que la République ne souffre aucun dommage). Par ce senatus consulte, les consuls étaient investis du pouvoir dictatorial, sans restriction du sénat, mais pour un temps limité.
-->
 
Dindan an Impalaeriezh e oa konsuled ivez, nemet galloud ebet n'o doa dre ma oa an impalaer a-us dezho. <!--
Sous l'Empire, la magistrature continue, mais elle est vidée de son pouvoir, l'empereur possédant une série de pouvoirs le rendant supérieur aux consuls. Le consulat n'offre donc plus de responsabilités réelles et ne devient donc qu'une distinction importante au sein de l'ordre sénatorial. Au consulat éponyme s'ajoutent des consuls dits « suffects », élus après la démission des précédents : une année peut donc compter bien plus de deux consuls, mais seuls les deux premiers, entrés en charge au 1er janvier, donnent leur nom à l'année. Le consulat suffect est moins prestigieux que le consulat ordinaire, réservé aux personnages que l'empereur souhaitent distinguer particulièrement, ou à l'empereur lui-même.
 
Le mot consul dans le contexte romain s'abrège couramment en : COS, suivant le modèle des épigraphes antiques. Pour désigner une personne ayant été huit fois a cette charge, on écrit COSVIII : Consul pour la huitième fois.