Elisabeth Charlotte von der Pfalz, La Palatine : diforc'h etre ar stummoù

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[[Restr:La Palatine-Louis XIV.jpg|thumb|right|200px|''Madame'' o kinnig Filenner Saks d'ar roue gall Loeiz XIV.]]
[[Restr:Arms of Élisabeth Charlotte of the Palatinate, Princess Palatine as Duchess of Orléans.png|right|200px]]
'''Elisabeth Charlotte, priñsez Pfalz''', anavezet ivez en [[alamaneg]] evel '''Liselotte von der Pfalz''' (1652–1722), hag e galleg evel ''La Palatine'', a oa ur briñsez alaman, eus [[Kurpfalz|Pfalz]], e lez ar roue gall [[Loeiz XIV]] er [[XVIIvet kantved]]. Dimezet e oa da [[Philippe de France (1640-1701)]], dug [[Orleañs]], lesanvet ''Monsieur'' (evel breudeur ar rouaned abaoe [[Loeiz XIII (Bro-C'hall)|Loeiz XIII]]), breur d'ar roue. Dre-se e veze graet ''Madame'' pe '' dugez [[Orléans]]'' anezhi. En he ziegezh alaman e oa "Liselotte" ha netra ken.
 
 
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eil merc'h e oa.
 
 
en las que se puede ver uno de los mejores y más minuciosos reportes de los sucesos y costumbres durante el reinado de su cuñado, de quien era una cercana amiga.
 
Seconde épouse de
 
Son titre exact, tel qu'il figure dans son contrat de mariage, est Élisabeth-Charlotte, princesse électorale palatine du Rhin. Toutefois, comme elle est issue de la branche aînée de la maison de Wittelsbach, dont la branche cadette règne alors sur la Bavière, une confusion s'établit chez ses contemporains, qui prennent l'habitude de la nommer assez inexactement Charlotte-Élisabeth de Bavière.
 
La tradition respecte cet usage, et c'est ainsi qu'elle est toujours communément appelée aujourd'hui. Elle est également très souvent appelée « la princesse palatine », mais cette appellation est postérieure, car pour ses contemporains, français du moins, ce titre désigne exclusivement Anne de Gonzague de Clèves (1616 ; † 1684), épouse de son oncle Édouard (1625 ; † 1663). Enfin, pour tous les membres de sa famille allemande, elle est simplement "Liselotte".
 
 
Originaire d'une petite cour allemande cultivée, elle est élevée dans la [[calvinisme|religion réformée]] à [[Heidelberg]] puis à partir du divorce de ses parents, par sa tante la [[Sophie de Hanovre|duchesse de Hanovre]]. Celle-ci lui donne une éducation humaniste, sachant aimer la nature, [[Montaigne]], [[Rabelais]] et la liberté, elle ne s'est jamais sentie très à son aise à la cour de [[Versailles]] régie par une [[étiquette (code)|étiquette]] rigoureuse, et où fleurissent des intrigues de toutes sortes, et où les relations humaines ne sont fondées que sur l'intérêt et l'égoïsme. En outre, si, comme l'observe un historien{{qui}}, {{citation|dans la fraîcheur de ses vingt ans, Madame n'était pas désagréable à regarder}}, son physique est très rapidement compromis par un embonpoint considérable, dont elle parle elle-même en évoquant {{citation|sa taille monstrueuse de grosseur}}.