João VI : diforc'h etre ar stummoù

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'''João VI''' (Lisboa 1767-1826), a oa roue Portugal hag an [[Algarvoù]], roue Brazil ha goude impalaer.
 
 
 
 
 
 
 
 
Après quelques années d'occupation française, le Portugal est définitivement libéré de l'occupant français en 1811 mais Jean refuse toutefois de rentrer en Europe. Le 16 décembre 1815, il proclame au contraire le « Royaume uni de Portugal, du Brésil et des Algarves », ce qui confirme la nouvelle place du Brésil au sein de l'ensemble portugais. Monté sur le trône en 1816, le souverain doit pourtant bientôt affronter l'opposition très vive des Portugais, qui se soulèvent pour obtenir le retour de la famille royale en Europe, et d'une partie des Brésiliens, qui refusent de voir leur pays rétrogradé au rang de simple colonie. Sous la pression populaire, Jean VI et son entourage rentrent donc finalement à Lisbonne le 3 juillet 1821, non sans avoir nommé auparavant le prince Pierre de Portugal régent du Brésil.
 
En Europe, Jean VI est à la fois victime des luttes de pouvoirs qui opposent libéraux et conservateurs et des conspirations de sa femme, la reine d'origine espagnole Charlotte-Joachime, avec qui il entretient des relations mouvementées depuis le début de son mariage. Il assiste par ailleurs, impuissant, à la montée du nationalisme brésilien et à la proclamation d'indépendance du pays par son propre fils aîné le 7 septembre 1822. Contraint à reconnaître la sécession brésilienne en 1825, Jean VI est néanmoins proclamé empereur titulaire du pays par la même occasion. Six mois plus tard, le souverain s'éteint dans des conditions mystérieuses, sans que sa succession soit réellement assurée, ouvrant ainsi la voie à une longue crise successorale.
 
 
 
 
 
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===Goude Napoleon===
E 1811 e voe dieubet Portugal diouzh an arme c'hall. Met João VI ne fellas ket dezhaén distreiñ da Europa.
Gant [[feur-emglev Rio de Janeiro]] e 1825 e oa bet anavezet dizalc'hted Brazil, hag anvet e oa bet João VI da [[impalaer Brazil]], met e vab henañ, an impalaer [[Pedro Iañ]] , an hini a oa e penn ar vro e gwirionez.
D'ar 16 a viz Kerzu 1815, ec'h embannas savidigezh « Rouantelezh unanet Portugal, Brazil hag an Algarvoù ». Gant kement-se e oa kreñvaet lec'h Brazil e-kreiz ar bed portugalat.
 
Gant [[feur-emglev Rio de Janeiro]] e 1825 e oa bet anavezet dizalc'hted Brazil, hag anvet e oa bet João VI da [[impalaer Brazil]], met e vab henañ, an impalaer [[Pedro Iañ]] , an hini a oa e penn ar vro e gwirionez.
 
Après quelques années d'occupation française, le Portugal est définitivement libéré de l'occupant français en 1811 mais Jean refuse toutefois de rentrer en Europe. Le 16 décembre 1815, il proclame au contraire le « Royaume uni de Portugal, du Brésil et des Algarves », ce qui confirme la nouvelle place du Brésil au sein de l'ensemble portugais. <!--Monté sur le trône en 1816, le souverain doit pourtant bientôt affronter l'opposition très vive des Portugais, qui se soulèvent pour obtenir le retour de la famille royale en Europe, et d'une partie des Brésiliens, qui refusent de voir leur pays rétrogradé au rang de simple colonie. Sous la pression populaire, Jean VI et son entourage rentrent donc finalement à Lisbonne le 3 juillet 1821, non sans avoir nommé auparavant le prince Pierre de Portugal régent du Brésil.
 
En Europe, Jean VI est à la fois victime des luttes de pouvoirs qui opposent libéraux et conservateurs et des conspirations de sa femme, la reine d'origine espagnole Charlotte-Joachime, avec qui il entretient des relations mouvementées depuis le début de son mariage. Il assiste par ailleurs, impuissant, à la montée du nationalisme brésilien et à la proclamation d'indépendance du pays par son propre fils aîné le 7 septembre 1822. Contraint à reconnaître la sécession brésilienne en 1825, Jean VI est néanmoins proclamé empereur titulaire du pays par la même occasion. Six mois plus tard, le souverain s'éteint dans des conditions mystérieuses, sans que sa succession soit réellement assurée, ouvrant ainsi la voie à une longue crise successorale.
 
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==E vugale==