Louis Philippe d'Orléans (1725-1785) : diforc'h etre ar stummoù

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==Dimeziñ ha bugale==
E 1743, a-benn ar fin, e timezas d'ur geniterv a-bell, [[Louise Henriette de Bourbon-Conti]] (1726-1759). Kavout a rae dezhañ en doa kavet ur plac'h a vertuz kristen pa zeue e bried eus ar gouent, hogen un drutell e oa.

Tri bugel o doe.
# ur verc'h ( 1745-1745), marvet da bemp miz;
# [[Louis-Philippe d'Orléans (1747-1793)]], dug Valois, anavezet ivez evel ''Philippe-Égalité'' ;
# [[Bathilde d'Orléans (1750-1822)|Louise-Marie-Thérèse-''Bathilde'' d'Orléans]] (1750-1822), « Mademoiselle », dimezet da [[Louis VI Henri de Bourbon-Condé|Louis Henri de Bourbon-Condé]], dug Bourbon ha priñs Condé.
 
E-kerzh an [[Dispac'h gall]] e konte Philippe-Égalité ne oa ket mab da Louis « le Gros », met d'ur chalboter eus ar Palais-Royal, ur vojenn diaes da grediñ pa ouzer e tenne ar mab d'e dad ofisiel.
 
Bevañ a reas gant [[Madame de Villemomble]], ha pemp bastard o doe, hag a voe savet gant an [[Tiegezh Orléans]] :
* Louis-Étienne, kont-abad Saint-Phar ;
* Louis-Philippe, kont-abad Saint-Albin ;
* Marie-Étienne, dimezet en 1778 d'un ofiser dragoned, François-Constantin de Brossard ;
* Div c'hoar c'hevell, dimezelled Mérainville, ac'h eas da leanezed.
 
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La duchesse de Chartres mourut prématurément de tuberculose en 1759.
 
Louis le Gros prit alors pour maîtresse en titre [[Madame de Montesson|Charlotte-Jeanne Béraud de La Haye de Riou]] (1738-1806), veuve du marquis de Montesson, qui l'appelait « Gros-Père ». Pendant des années, il tenta d'obtenir de Louis XV la permission de l'épouser ; le roi n'y consentit qu'en 1772, et à la condition expresse que le mariage ne fût que [[Mariage morganatique|morganatique]] et que {{Mme}} de Montesson ne devînt pas duchesse d'Orléans, ce qui fit dire que faute d'avoir pu faire de la marquise de Montesson une duchesse d'Orléans, le duc d'Orléans s'était fait marquis de Montesson. Après le mariage, qui eut lieu en 1773, le duc d'Orléans et sa nouvelle épouse durent quitter le [[Palais-Royal]] et [[Château de Saint-Cloud|Saint-Cloud]], leur situation étant désormais incompatible avec les obligations de l'étiquette. Ils vécurent discrètement entre la maison que le duc possédait à [[Bagnolet]] et le [[château de Sainte-Assise]], cadeau de mariage offert à Madame de Montesson, situé à [[Seine-Port]] (actuel [[département de Seine-et-Marne]]), au bord de la Seine, et où, en dépit de plusieurs années d'intrigue, elle n'eut jamais l'honneur d'une visite royale.
 
Il passa ses dernières années dans sa maison de [[Bagnolet]], protégeant les savants et les gens de lettres, et jouant souvent lui-même la comédie. Ce prince éclairé favorisait les découvertes. Homme de bien, il distribuait d'importantes sommes aux nécessiteux. « M. le duc d'Orléans, dit de lui le [[Pierre Victor de Besenval de Brünstatt|baron de Besenval]], révoltait souvent ses amis par la faiblesse de son caractère, et le peu de noblesse qu'il mettait quelquefois dans sa conduite ; mais il se les attachait par la bonté extrême qui était le fond de son caractère, et par les services qu'il leur rendait, autant que sa timidité pouvait le lui permettre. »
 
En 1769, il augmenta les [[biens de la maison d'Orléans|propriétés de la famille d'Orléans]] en achetant le [[château du Raincy]] aux héritiers du [[Louis II Sanguin|marquis de Livry]]. Mais en 1784, il dut consentir à céder au [[Louis XVI de France|roi]] le [[château de Saint-Cloud]], convoité par [[Marie-Antoinette d'Autriche|Marie-Antoinette]].
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