Kronos : diforc'h etre ar stummoù
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== Mojenn ==
P'edo Ouranos o virout ouzh [[Gaia]] da c'henel an [[Titaned |Ditaned]] dre
Neuze e c'hanas Gaia an Ditaned. Nemet nac'h a eure Kronos lezel bugale euzhus Gaia hag Ouranos da redek dre ar bed. Chadennañ a eure e vreudeur siet, ar [[Kukloped|Gukloped]] hag an [[Hekatonc'hired]], ha taolet anezho e goueled an
[[Tartar]], ar bed dindan an douar.
Ha setu Kronos mestr ar bed.
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Cronos se proclama roi de ce monde dont il avait rétabli l'équilibre autrefois, un monde voulu par Gaïa la terre. Il se lia avec [[Rhéa]], mais il n'avait pas oublié la malédiction d'Ouranos : il mangea chacun de ses enfants au fur et à mesure qu'ils naissaient. [[Hestia]], [[Déméter]] et [[Héra]], ses trois premières filles, puis [[Hadès]] et [[Poséidon]] furent ainsi avalées par Cronos. Mais lorsque arriva le sixième, Rhéa, sur le conseil de sa mère Gaïa, cacha l'enfant et le remplaça par une pierre que Cronos engloutit directement.
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Alors débuta la [[titanomachie]], guerre entre les Titans et les [[Divinités olympiennes|Olympiens]]. Après plusieurs confrontations, les Olympiens se rendirent compte qu'ils étaient plus faibles que les Titans. Ils s'allièrent avec les Cyclopes et les Hécatonchires. Les Cyclopes leurs fournirent des armes : à Zeus, ils remirent la foudre, à Poséidon, un trident capable d'ébranler le sol et à Hadès un casque qui avait le pouvoir de rendre invisible celui qui le portait. Grâce à ces armes et à l'aide musclée des Hécatonchires (monstres à cent bras), les Olympiens remportèrent la victoire contre les Titans.
Zeus régnait alors en roi tout-puissant, Dieu parmi les dieux. Mais
À la vue de Typhon, les Dieux de l'Olympe s'enfuirent. Seul Zeus accepta de l'affronter. Mais Typhon gagna la terrible bataille. Il enleva les nerfs et les tendons de Zeus, les cacha et confia Zeus à la garde d'un autre [[dragon (créature fantastique)|dragon]].
Mais les Olympiens avaient honte de leur fuite. [[
Comme [[Japet (mythologie)|Japet]], Cronos devient dans la langue grecque le symbole proverbial de ce qui est vieux, démodé, dépassé. Ainsi, l'expression grecque « ça remonte à Cronos » est l'équivalent du français actuel « ça remonte à Mathusalem ». -->
[[Image:Goya - Saturne (détail).jpg|thumb|200px|right|''Sadorn o tebriñ unan eus e vugale, gant [[Francisco Goya|Goya]] (v. [[1815]])]]
[[Image:Angelo Bronzino 001.jpg|thumb|200px|Trec'h Gwener ([[Afrodite]]), gant [[Angelo Bronzino]]. Trec'h ar yaouankiz war an doue kozh Kronos, a-gleiz en daolenn.]]
== E vinvioù ==
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* Ar [[falz]], an [[horolaj-traezh]].
== Gwelout ivez ==
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