Ac'henaton : diforc'h etre ar stummoù

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Benoni (kaozeal | degasadennoù)
Diverradenn ebet eus ar c'hemm
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Linenn 70:
 
==Fin ren Ac'henaton==
A bep seurt kevrinoù a zo tro-dro da marv Ac'henaton. Ne ouier ket pegoulz eo mav, na penaos: e warlec'hidi o deus graet ar pezh a c'hellent evit diverkañ roudoù ar roue disivouder. D'ar muiañ tout e ouier e vez deiziet evit ar mare eus bloavezh XVII pe XVIII e ren an arroudoù diwezhañ o venegiñ anezhañ.
<!--La mort d'Akhénaton est entourée de mystère. On ne sait ni quand ni comment il décède, ses successeurs ayant tout fait pour effacer les traces du roi hérétique. Tout au plus peut-on dater de l’an XVII / XVIII la dernière inscription qui le mentionne.
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Smenkhkarê[7], gendre et successeur d’Akhénaton après une probable corégence[8], meurt après un règne éphémère. Le pouvoir revient alors à un enfant de neuf ans, Toutânkhaton, qui avait épousé la seconde fille d’Akhétaton. Nous ne savons rien de précis sur l’ascendance du jeune souverain. Il existe cependant une hypothèse qui affirme que Kiya, la « Grande Épouse, aimée du Roi », serait sa mère, après la disgrâce ou la mort de Néfertiti, étant donné qu'une autre femme que Néfertiti est représentée sur une peinture murale dans un palais d'Akhetaton, dans la chambre de pharaon plus précisément. Ce qui est sûr en revanche, c'est que le culte d'Aton s'éteint pratiquement avec la mort du roi hérétique. Au bout de trois ans, Toutânkhaton quitte Tell el-Amarna ; il adopte le nom de Toutânkhamon, restaure le culte des dieux traditionnels et rétablit le clergé dans les biens dont l’avait dépouillé le « misérable d'Akhetaton ».-->