Priapos : diforc'h etre ar stummoù

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Anavezet mat e oa abalamour d'e vell kalc'h , bepred sonn, ma komzer hiriv eus [[priapelezh]].
 
Ganet e oa e Lamsakos, war lez an [[Hellespont]], en [[Azia]]. Mab e oa da Zionisos hag [[Afrodite]], pe, hervez doareoù all, da [[Hermes]], pe Adonis, pe Zeus zoken.
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D'autres auteurs, le vieillissant de plusieurs générations, voient en lui un Titan auquel Héra aurait confié le soin d'enseigner le maniement des armes à Arès[réf. nécessaire]. Il est généralement représenté de façon grotesque, pourvu d'un énorme phallus en érection perpétuelle. Les Romains placent souvent dans leur jardin des statues grossières en bois (des hermai) de figuier, peintes de vermillon, représentant Priape, pour servir d'épouvantail.
 
Priape est l'obscénité incarnée. Cette difformité serait due à la malveillance d'Héra, jalouse de la beauté d'Aphrodite. Honteuse, elle abandonne l'enfant. Il est recueilli par des bergers qui apprécient sa rusticité.
 
Priape écarte le mauvais œil et sa statue protège les vergers, mais il ne connaît ni le plaisir ni la fécondité. Il aime qu'on lui sacrifie un âne : une nuit où il allait violer Hestia, la déesse est avertie par un braiment. Pour la fête d'Hestia, en revanche, les ânes sont couronnés de fleurs. Une explication différente est donnée de sa haine pour les ânes : elle a pour origine une querelle avec un âne que Dionysos a doté de la parole, en récompense d'un service. La cause en est la taille respective de leur membre viril. Priape a le dessus et bat l'âne à mort.
 
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[[Rummad: doueed Hellaz]]