Bianca Maria Sforza : diforc'h etre ar stummoù
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A-boan e oa ganet e oa kaoz d'he dimeziñ da ''Philibert Ier de Savoie'', a varvas da 17 vloaz en 1482, a-raok an [[eured]]. Goude e voe tro Yann, mab bastard Mathias Corvin, a oa da vezañ roue [[Hungaria]]. Met [[Ladislas Bohemia]] an hini a savas war ar gador-roue , ha ne voe ket graet an eured.
E [[1494]], pa oa 22 vloaz, e voe roet da zimeziñ gant hec'h eontr [[Ludovico Sforza]] d'an [[impalaer]] [[
Goude un eured war an ton bras, sede ar plac'h nevez kuit da [[Tirol|Dirol]], gant he lez, gwazed ha dimezelled, hag en o zouez [[Leonardo da Vinci]]
==Un dimeziñ hep levenez==
''Masimilian'' a voe impalaer eus [[1493]] betek [[1519]],
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▲Maximilien, qui fut empereur de [[1493]] à [[1519]], avait, en [[1477]] épousé en premières noces [[Marie de Bourgogne]], princesse héritière de [[Bourgogne]] et des [[Pays-Bas bourguignons]], fille unique de [[Charles le Téméraire]]. De ce mariage, très heureux, naquirent deux enfants, [[Philippe le Beau|Philippe]] et [[Marguerite d'Autriche (1480-1530)|Marguerite]]. Cette union fut pourtant de courte durée, car Marie mourut en [[1482]] suite à une chute de cheval. L'Empereur ne fut jamais amoureux de Blanche-Marie, il la négligea et elle ne lui donna pas d'enfants. On disait que « la Sforza », quoique aussi belle que la première (et aimée) épouse de Maximilien, n'était pas aussi « sage ».
À l'occasion de ce mariage, Maximilien fit décorer la ''Neuer Hof'' d'[[Innsbruck]] d'un « dais d'or », c'est-à-dire d'une loge dont le toit était fait de 2 500 petites tuiles de cuivre doré. Il est remarquable que l'Empereur voulut se faire représenter en portrait avec ses deux femmes, Blanche-Marie Sforza (laquelle, à la vérité, n'était pas particulièrement jolie) et la précédente, la très aimée et jamais désavouée Marie de Bourgogne.
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