Maer ar palez : diforc'h etre ar stummoù
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'''Maer ar palez''' (Hausmeier en [[alamaneg]]) a oa an uhelañ karg a oa e rouantelezh ar [[Franked]] er VIIvet hag VIIIvet kantved, dindan ar Veroveed.
Gantañ e oa ar galloud gwirion pa ne oa ket nemeur gant ar roue. Tennañ a rae ar garg-se da hini prefed ar pretoer en
A dad da vab e veze legadet ar garg gant diskennidi [[Pepin Herstal]].
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L’histoire ne fait point mention de l’institution de cet office, qui est aussi ancien que la monarchie ; il est vrai qu’il n’en est point fait mention sous Clovis Ier, ni sous ses enfants ; mais quand Grégoire de Tours et Frédegaire en parlent sous le règne des petits-fils de ce prince, ils en parlent comme d’une dignité déjà établie. Ils n’étaient d’abord établis que pour un temps, puis à vie, et enfin ils devinrent héréditaires. Leur institution n’était que pour commander dans le palais, mais leur puissance s’accrut grandement, ils devinrent bientôt ministres, et l’on vit ces ministres, sous le règne de Clotaire II, à la tête des armées. Le Maire était tout à la fois le ministre et le général né de l’état ; ils étaient tuteurs des rois en bas âge ; on vit cependant un Maire encore enfant exercer cet office sous la tutelle de sa mère : ce fut Théodebalde, petit-fils de Pépin, qui fut Maire du palais sous Dagobert III, en 714.
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