Estlammadell : diforc'h etre ar stummoù
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Linenn 21:
*gerioù saludiñ evel [[Demat]], [[kenavo]], [[Ciao]]
*gerioù a verk levenez pe tristidigezh pe boan : ''a! aiou! [[Ma Doue]] ![[Olé]] ! Siwazh! ''
==Estlammadell ha trouz==
Estlammadelloù a zo da zreveziñ an trouz:
*badadao!
*chik
*dao
*flik-flok
*kotokotog!
*miaou! miniaou!
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* Une autre catégorie d'interjections est constituée par un certain nombre ''d'emprunts''. Elles sont parfois appelées ''fausses interjections''. Quand l'emprunt est effectué à partir du français, on a affaire à un changement de [[Nature (grammaire)|catégorie]] et on parle de [[dérivation impropre]]. Au contraire, quand l'emprunt est effectué à partir d'une langue étrangère, on parle d'[[emprunt lexical]] :
Linenn 62 ⟶ 67:
Dans son ''Essai sur l’origine des connaissances humaines'' (1746) [[Condillac]] envisage que la langue primitive est faite d’interjections émotionnelles exprimant par le son une humeur ou un sentiment : ce type de théorie est qualifiée de théorie ‘‘peuh-peuh’’. Ces interjections émotionnelles, précurseurs des [[émotèmes]] (couple de lettres associés à une émotion tel ''tr'' avec la peur, ''ar'' avec la menace, ''aï'' avec le risque douloureux, etc), constituent un premier essai de liaison son-émotion, des sons brefs qui n’acquièrent de signification qu’en fonction de la hauteur du son et de la mimique d’accompagnement (grimace de douleur, sourire de plaisir). Les langues [[tonales]], comme le [[Langue chinoise|chinois]], utilisent systématiquement les possibilités polysémiques de la tonalité des sons permettant ainsi l’extension du lexique de cette langue.
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Linenn 181 ⟶ 184:
'''Gwelout ar pennad: [[urzhioù d'al loened]]'''
== Pennadoù kar==
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