Roperzh Teurgn : diforc'h etre ar stummoù

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== Dimeziñ ha bugale ==
N'eus meneg istorel ebet eus pried Roperzh. Kreiñ a reer e oa ''Adelaid'', pe ''Adelais Elzas'', pe ur vaouez kar dezhi, marteze merc'h dezhi.
 
Honnezh a oa anavezet ivez evel Adelaid Teurgn (war-dro [[805]] - † war-lerc'h [[866]]),a oa merc'h da Huon Teurgn hag Elzas, lesanvet an Aonig. Dimezet e voe da gentañ war-dro 839, da [[Konrad Iañ Bourgogn]] <ref>{{Ref-Riché-Carolingiens}}, taolenn XIII</ref>.
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Adélaïde d'Alsace, connue aussi sous le nom d'Adélaïde de Tours (v. [[805]] - † ap. [[866]]), est la fille de [[Hugues III de Tours et de la Haute Alsace|Hugues d'Alsace]], dit ''le Peureux''. Elle fut mariée en premières noces, vers 839, avec [[Conrad Ier de Bourgogne|Conrad I{{er}} de Bourgogne]]<ref>{{Ref!-Riché-Carolingiens}}, tableau XIII</ref>. La transmission du prénom Hugues chez les Robertiens et le fait qu'[[Hugues l'Abbé (fils de Conrad)|Hugues l'Abbé]], fils d'Adélaïde et de Conrad, succède à Robert le Fort militent en faveur de cette thèse. <br />
Il se peut aussi que Robert le Fort se soit marié avec une fille d'Adélaïde d'Alsace et de Conrad {{Ier}}. Cette hypothèse repose sur une interpolation de la chronique de Saint-Bénigne de Dijon, datant du {{XIIe siècle}}. Mais rien n'assure qu'Adélaïde se soit remariée après la mort de Conrad et cette hypothèse présente des faiblesses chronologiques.
 
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Une légende prétendait qu'il serait le fils d'un boucher... (par exemple dans : Jean Duché, ''Histoire de France racontée à Juliette'', Paris : Amiot-Dumont, 1954, p.112). [[Dante]], dans [[la Divine Comédie]], affirmait la même chose d'[[Hugues Capet]]. Les travaux actuels en ont démontré la fausseté et ont montré que l'entourage familial de Robert le Fort plonge dans des familles proches du pouvoir et qu'il est issu de l'aristocratie franque.
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== Lennadurezh ==
* ''Pays de Loire et Aquitaine de Robert le Fort aux premiers Capétiens'', actes du colloque scientifique international (Angers, septembre 1987), réunis et préparés par Olivier Guillot et Robert Favreau, in-8°, 266 pages, Société des antiquaires de l'Ouest, Poitiers, 1997 ; [Mémoires de la Société des antiquaires de l'Ouest et des musées de Poitiers, 5e sér., t.4].