Hetaira : diforc'h etre ar stummoù

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[[Image:Liegende Hetäre.jpg|thumb| Un hetaera e Roma, war-dro an IIvet kantved. Ar penn a zo aet da goll.]]
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Darn a oa pinvidik-bras. Teodote zo bet deskrivet gant Xénophon evel ur vaouez gwisket gant dilhad koustus , dezhi un ti bras pinvidik ha sklaved niverus
 
 
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et philosophe elle-même. À l'époque hellénistique, on peut citer
Certaines de ces hétaïres sont très riches. Xénophon décrit Théodoté entourée d'esclaves, richement vêtue et logeant dans une maison de grande allure. Certaines se distinguent par leurs dépenses extravagantes : ainsi une courtisane égyptienne affranchie par le frère de la poétesse Sappho, se serait distinguée en faisant bâtir une pyramide. Hérodote (II, 134-135) ne croit pas à cette anecdote, mais décrit une inscription très coûteuse qu'elle finance à Delphes. Les tarifs des courtisanes varient beaucoup, mais sont substantiellement plus élevés que ceux des prostituées communes : dans la Nouvelle Comédie, ils varient de 20 à 60 mines pour un nombre de jours indéterminés. Dans le Flatteur (v. 128-130), Ménandre mentionne une courtisane gagnant trois mines par jour soit davantage, précise-t-il, que dix pornai réunies. S'il faut en croire Aulu-Gelle (Nuits attiques, I, 8), les courtisanes de l'époque classique vont jusqu'à 10 000 drachmes pour une nuit.
Certaines de ces hétaïres sont très riches.
 
Certaines de ces hétaïres sont très riches. Xénophon décrit Théodoté entourée d'esclaves, richement vêtue et logeant dans une maison de grande allure. Certaines se distinguent par leurs dépenses extravagantes : ainsi une courtisane égyptienne affranchie par le frère de la poétesse Sappho, se serait distinguée en faisant bâtir une pyramide. Hérodote (II, 134-135) ne croit pas à cette anecdote, mais décrit une inscription très coûteuse qu'elle finance à Delphes. Les tarifs des courtisanes varient beaucoup, mais sont substantiellement plus élevés que ceux des prostituées communes : dans la Nouvelle Comédie, ils varient de 20 à 60 mines pour un nombre de jours indéterminés. Dans le Flatteur (v. 128-130), Ménandre mentionne une courtisane gagnant trois mines par jour soit davantage, précise-t-il, que dix pornai réunies. S'il faut en croire Aulu-Gelle (Nuits attiques, I, 8), les courtisanes de l'époque classique vont jusqu'à 10 000 drachmes pour une nuit.
 
 
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