Marbod : diforc'h etre ar stummoù

Eskobet e voe e [[1096]] gant ar pab [[Urban II]] pa deuas da Vro-C'hall.

Enebiñ a reas ouzh [[Robert d'Arbrissel]], ha tamall a rae dezhañbevañ e-touez maouezed

 

 

 

Il lance une réforme du [[clergé séculier]], soutenu par le duc de Bretagne, mais s'oppose à [[Robert d'Arbrissel]] dans une lettre où il lui reproche ses excès, notamment de vivre au milieu des femmes, de pratiquer ce que l'on a appelé le [[syneisaktisme]], de porter un costume ridicule, de stigmatiser les vices du peuple et plus encore ceux des grands et du clergé. Marbode préfère la douceur et participe à de nombreux conciles. Il a une œuvre littéraire importante, notamment des poèmes en l'honneur de sa protectrice, la duchesse Ermengarde d'Anjou, des vies de saints angevins, des poèmes satiriques, des œuvres didactiques comme

 

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Sevel a reas buhezioù-sent e komz-plaen, hag e gwerzennoù an ''Historia Theophili'', ar ''Passio Sancti Laurentii'' ha forzh kantikoù.

*Al ''Liber lapidum seu de gemmis'', a zispleg vertuzioù hag efedoù un 60 maen prizius war ar yec'hed .

 

==Troidigezhioù==

 

==Lennegezh==

 

[[Rummad:Eskibien Roazhon]]

[[Rummad:Skrivagnerien latin Breizh]]

[[ca:Marbode de Rennes]]

[[en:Marbodius of Rennes]]