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Linenn 4: [[Skeudenn:Lucian of Samosata.png\|framed\|dehou\|Lukian Samosata]] '''Lukian Samosata''' (Λουκιανός ο Σαμοσατεύς / ''Loukianós'' e [[gregach]], ''Lucianus'' e [[latin]]) a veve en [[IIvet kantved]], ganet (war-dro [[125]], –marvet war-lerc'h [[180]]), a oa ur retorikour asiriat, da lavarout eo [[aramaeger]] a orin, hag ur skrivagner [[hellazek]]. Fent ha flemm ha gaver en he skridoù. <br /> Kizeller e vije bet ivez, ha ~~beajién~~beajiñ a reas dre an imapalaeriezh roman. == E vuhez == N'eur ket evit gwiriañ kement tra zo bet kontet diwar e benn. Eñ a lare e oa ganet e [[Samosata]], e rouantelezh [[Kommagene]], a oa bet enteuzet en Impalaeriezh roman, hag a oa ur rann eus [[Siria]]. Lakaet e oa bet da zeskiñ ar c'hizellerezh gant breur e vamm, met paouez a reas adalek ar gentel gentañ. Beuzet e voe bro e gavell gant ar stankell [[Atatürk]] e 1989. En e oberenn e lavar bout sirian <ref>[http://www.tertullian.org/rpearse/lucian/lucian_intro.htm Harmon, A. M. "Lucian of Samosata: Introduction and Manuscripts."] e-barzh Lucian, ''Works''. Loeb Classical Library (1913)</ref> "Assyrian" ha "barbarian", da ziskouez marteze e oa "eus ar bobl semitek ha n'eo ket eus an Hellaziz a oa deuet da chom da Samosata.<ref>Keith Sidwell, introduction to Lucian: ''Chattering Courtesans and Other Sardonic Sketches'' (Penguin Classics, 2005) p.xii</ref> ==Oberennoù== N'en deus ket gallet skrivañ ar 80 oberenn lakaet war e gont alies. Arnodskridoù, divizoù fentus, flemmus atav zo deuet a zindan "e bluenn" : 150 dornskrid en holl a oa bet lakaet war e gont. Linenn 27 ⟶ 30: ~~Ses parents le destinaient à la profession de [[sculpteur]] il abandonna le maître à qui on l'avait confié, frère de sa mère, dès la première leçon.~~ Il s'adonna tout entier à l'étude des belles-lettres, et il fut bientôt en état de tirer parti de ses talents. Jusqu'à l'âge de quarante ans, il se borna à plaider ou à donner des leçons de rhétorique, d'abord à [[Antioche]], puis à [[Athènes]]. C'est alors qu'il commença à écrire pour le public et à voyager. Il vint en [[Italie]] et y fit un assez long séjour. Il passa de là dans les [[Gaule]]s, puis en [[Asie Mineure]]. Enfin, il se fixa en [[Égypte]], où l'empereur [[Marc-Aurèle]] lui assigna d'importantes fonctions administratives et judiciaires. C'est à [[Alexandrie]] probablement qu'il mourut, dans les premières années du règne de [[Commode (empereur)\|Commode]]. Avant d'arriver aux honneurs, il avait déjà acquis fortune et renom. Ses écrits rencontraient du succès, et il recevait des sommes considérables pour les leçons et les déclamations qu'il faisait sur son passage, à la manière des sophistes et des rhéteurs du temps. Après avoir raconté le songe qui avait déterminé, disait-il, sa vocation littéraire, il ajouta : « Tel qui aura entendu le récit de mon songe sentira, j'en suis sûr, le courage renaître dans son âme. Il le prendra pour exemple ; il réfléchira à ce que j'étais, lorsque j'entrai dans la carrière et me livrai à l'étude sans rien redouter de la pauvreté qui me pressait alors ; et il voudra m'imiter, en voyant en quel état je suis revenu vers vous, non moins illustre qu'aucun sculpteur, pour ne rien dire de plus. »

Lukian Samosata : diforc'h etre ar stummoù