Akademiezh ar Ricovrati : diforc'h etre ar stummoù

Endalc’h diverket Danvez ouzhpennet
Diverradenn ebet eus ar c'hemm
Linenn 9:
Ouzhpen Italianed ha gwazed zo bet:
[[Galileo Galilei]] • [[Cesare Cremonini (philosopher)|Cesare Cremonini]] • [[Elena Cornaro Piscopia]] • [[Antoinette Des Houlières]] • [[Anne-Marie Du Boccage]] • [[Marie-Jeanne L'Héritier de Villandon]] • [[Catherine Bernard]] • [[Marie-Catherine d'Aulnoy]] • [[Marie-Catherine de Villedieu]] • [[Charlotte-Rose de Caumont La Force]] • [[Anne Dacier]] • [[Madeleine de Scudéry]] • [[Maria Selvaggia Borghini]]
 
== Kaoz a verc'hed ==
E dibenn ar XVIIvet kantved ne oa ket stank an [[akademiezh]]ioù evel Akademiezh ar Ricovrati a zegmere maouezed. Ganti e voe degemeret ar c'hentañ maouez loreet gant un diplom skol-veur en Europa, [[Elena Cornaro Piscopia]] en [[1679]], ha goude [[Anne Dacier]] en [[1679]], [[Madeleine de Scudéry]] en [[1685]] ha [[Maria Selvaggia Borghini]] en 1689.
 
<!--
Sur les vingt-cinq femmes admises entre les {{s2|XVII|e|XVIII|e}}, seules quatre étaient [[italie]]nnes, les autres étant des Françaises qui n’assistaient pas aux séances.
 
Néanmoins, les femmes n’étaient qu’associées honoraires et, en tant que telles n’avaient pas le droit de voter ou d’occuper des postes administratifs. À la différence des autres membres, elles ne s’adressaient pas, sauf en de rares occasions, à l’assemblée des Académiciens.
 
Jusque-là, l’Académie avait débattu de façon théorique la [[condition féminine|question des femmes]] en proposant des sujets comme {{Guil|S’il serait plus louable d’exclure les femmes du gouvernement comme le faisaient les Romains ou de les y admettre comme le faisaient les Grecs}}, {{Guil|Ce qui serait plus désirable sous le règne d’une femme, une femme consacrée aux armes ou aux lettres ?}} ou {{Guil|Si chaque homme, pour son bien, devrait, ou non, tomber amoureux}}.
-->
 
== Lennadurezh ==