Alessandro de' Medici (dug Firenze) : diforc'h etre ar stummoù

Endalc’h diverket Danvez ouzhpennet
Linenn 7:
Abalamour d'e lesanv '''il Moro''' e kreder e c'hallfe bezañ bet ganet gant ur vatezh hiron a laboure evit an tiegezh [[Medici]], anvet [[Simonetta da Collevecchio]], hervez tud all e oa mab d'ur goueriadez roman. Teñval e oa live zremm ha netra ken.
 
Pa voe trec'het ar [[Repubblica fiorentina]] gant an arme spagnol e teuas da vout mestr Firenze, hervez un emglev etre ar [[Klemañs VII (pab)|pab]] hag an impalaer [[Karl V]], diwar-goust e genderv [[IpolittoIppolito de' Medici]] .
 
Kerkent ha kemeretar galloud e klaskas kemmañ an ensavadurioù republikan goude ma ranke doujaén dezho hervez ar feuremglev sinet goude da Firenze kodianañ. Gant e genderv Cosimo a reno war e lerc'h e vint kemmet da vat.
Linenn 15:
Ayant toujours vécu à la cour impériale de Charles Quint, Alexandre en apporte les usages à Florence comme celle de s'entourer de lansquenets armés de hallebardes, qui effrayent et déconcertent les Florentins.
 
Il commence à donner un caractère «princier» à sa gouvernance et élimine les symboles des institutions communales, chers aux Florentins. Parmi ces initiatives, il charge Benvenuto Cellini (qui en parle dans son autobiographie) de préparer une monnaie de taille différente du florin à son effigie. Alexandre exige, encore unea foisc'hourc'hemennas, contreen tousdesped lesd'ar traitésfeuremglevioù, la réquisitionma desvo armesdastumet détenuesarmoù parar lesgeodedourien. citoyens, ce qui ne l'empêchera pas de mourir peu de temps après assassiné par son parent, Lorenzino de Médicis avec qui il avait une relation peu claire et que certains conseillers (que Cellini relate) jugeaient morbide.
 
Avec le duché, les institutions florentines connaissent un semblant de démocratie notamment au travers d'un symbolique conseil des deux cent et d'un Sénat (1532) composé de quarante-huit membres nommés à vie.