Kaozeal:Duos habet et bene pendentes

En 855, une moniale dénommée Jeanne aurait séduit les membres de la Curie par son érudition et se serait fait élire sous le nom de "Jean VIII". La supercherie aurait été découverte deux ans plus tard car, enceinte, elle aurait été prises de contractions et aurait accouché pendant une procession. La foule l'aurait lapidée pour avoir trompé l'Eglise. Pour éviter le retour d'une telle horreur, lors de l'élection d'un nouveau pape, un cardinal serait chargé de vérifier manuellement au travers d'une chaise percée la présence des virils attributs avant de s'écrier "Duos habet et bene pendentes". Acette déclaration, le choeur des cardinaux électeurs répondrait : "Deo gratias". Il est arrivé qu'un candidat ait perdu un attribut. C'est alors que le vérificateur s'est exclam" : "Est unus". Le répond aurait alors été : "Sufficit". Les guerres, la capture par les pirates barbaresques avaient parfois enlevés les attributs du candidat. Le cardinal vérificateur désolé déclarait qlors : "Est nullius" et le répond était (en latin) : "Dieu y pourvoira".

Trugarez eus an danvez degaset a nevez. Mat e vije bet lavarout a belec'h e teu. Bianchi-Bihan 10 Gwe 2008 da 08:46 (UTC)