Georges Clemenceau : diforc'h etre ar stummoù

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[[Restr:Georges Clemenceau Imag1396.jpg|200px|thumb|Georges ClémencceauClemencceau.]]
 
'''Georges Clemenceau''', bet ganet d'an 28 a viz Gwengolo 1841 e [[Mouilleron-en-Pareds]] ([[Vendée (departamant)|Vendée]]) hag aet da anaon d'ar 24 a viz Du 1929 e [[Pariz]], zo un den Stad gall, [[strollad republikan, radikal ha radikal-sokialour|radikal-sokialour]], [[prezidant ar c'huzul]] eus 1906 da 1909, ha goude eus 1917 da 1920.
 
Deuet eus ur familh republikan e voe dilennet maerda vaer an [[Pariz|18{{vet}} Arondisamant]] ha goude-se e voe aet da Brezidant Kuzul kêr Pariz e deroù an [[Trede Republik c'hall|Trede Republik]], ha kannad ar Vodadeg Broadel e [[1871]].
 
 
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Issu d'une famille [[Républicanisme|républicaine]], il fut maire du [[18e arrondissement de Paris|18{{e}} arrondissement de Paris]] puis [[liste des présidents du conseil municipal de Paris|président du conseil municipal de Paris]] au début de la [[Troisième République]], ainsi que [[Assemblée nationale (France)|député]] en 1871, puis de 1876 à 1893, siégeant en tant que républicain [[radicalisme|radical]]. Défenseur de l'[[amnistie]] pour les [[Communard|Communards]] et [[anticléricalisme|anticlérical]], il prôna inlassablement la [[séparation de l'Église et de l'État]] et s'opposa à la [[colonialisme|colonisation]], faisant tomber le [[gouvernement Jules Ferry (1)|gouvernement Jules Ferry]] sur cette question. Fondateur du journal ''[[La Justice (journal)|La Justice]]'' et de la [[Société des droits de l'homme et du citoyen]], il travailla ensuite à ''[[L'Aurore (journal)|L'Aurore]]'' et prit une part active dans la [[affaire Dreyfus|défense du capitaine Dreyfus]].
 
Élu [[sénat (France)|sénateur]] en 1902, bien qu'il ait critiqué dans sa jeunesse l'institution anti-républicaine du [[Sénat (France)|Sénat]] et de la [[président de la République|présidence de la République]], il fut nommé [[ministère de l'Intérieur (France)|ministre de l'Intérieur]] en 1906, se désignant lui-même comme le « premier flic de France ».
 
Surnommé « le Tigre », il réprima alors les grèves et mit fin à la [[querelle des inventaires]], devenant [[président du Conseil]] de 1906 à 1909. Retournant au Sénat, il fonda un nouveau journal, ''[[L'Homme libre]]'', renommé ''L'Homme enchaîné'' après avoir essuyé la [[censure en France|censure]] au début de la [[Première Guerre mondiale]].
 
En novembre 1917, il fut nommé de nouveau à la présidence du Conseil et forma un [[gouvernement Georges Clemenceau (2)|gouvernement consacré à la poursuite de la guerre]]. Négociateur lors de la [[Traité de Versailles (1919)|Conférence de Versailles]], le « Père la Victoire », après avoir promulgué la [[loi des huit heures]], manqua de se faire [[Élection présidentielle de janvier 1920|élire à la présidence de la République en 1920]], étant critiqué à gauche et à droite, et se retira de la vie politique.
 
Son destin politique est intimement lié au département du [[Var (département)|Var]]: député de 1885 à 1893 pour le seul [[arrondissement de Draguignan]], il est élu comme sénateur du Var en 1902 et réélu en 1909. De ce département, il disait « qu’il [était] l’un des purs joyaux de notre pays »<ref>[http://lashha.perso.sfr.fr/media/clemenceau.pdf Georges Clemenceau et le Var par Hubert François]</ref>.
 
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{{DEFAULTSORT:Clemenceau, Georges}}
[[Rummad:Brezel-bed kentañ]]
[[rummad:Ganedigezhioù 1841]]